Le Popcorn de l'Infini #7 : X2 : X-Men United

Episode 7 May 28, 2025 00:53:25
Le Popcorn de l'Infini #7 : X2 : X-Men United
Le popcorn de l'infini
Le Popcorn de l'Infini #7 : X2 : X-Men United

May 28 2025 | 00:53:25

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Show Notes

Pour cet épisode du podcast, on parle du deuxième film avec deux noms! On ne sait pas trop comment l'appeler... C'est tu X2? X-Men United? X2: X-Men United?

On ne va pas trouver la réponse à notre question, mais on va débattre sur notre appréciation du film et aussi explorer les comics qui l'ont inspiré!

 

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Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: Le balado que tu t'apprêtes à écouter, tu peux pas l'entendre ailleurs. C'est une exclusivité. [00:00:31] Speaker B: Bienvenue au septième épisode du Popcorn de l'Infini. Vous retrouverez encore votre tandem composé de moi-même et de David. Merci. Comment ça va David? [00:00:42] Speaker A: Ça va super bien aujourd'hui. Comment ça va toi? [00:00:44] Speaker B: Ça va super bien aussi. Je suis très excité de parler de ce film-là. Je l'ai mentionné dans le premier épisode en fait sur X-Men. Aujourd'hui on parle de X2, X-Men United. On ne sait pas trop comment l'appeler. X-Men 2 aussi, c'est ça, il y a un petit peu trop de noms. Mais moi c'est ça, j'ai grandi avec la franchise X-Men puis là j'apprends à les revisiter un petit peu avec mon regard un peu plus cinéphile. Spoiler alert, j'ai moins aimé ça que la première fois mais j'ai quand même bien aimé. Mais c'est ça, on s'intéresse à X-2 parce qu'il est canon. Encore une fois à cause de Wolverine et... c'est ça, Deadpool et Wolverine. [00:01:24] Speaker A: Deadpool et Wolverine qui a rendu l'univers X-Men produit par Fox canon. [00:01:30] Speaker B: Mais moi je les aime les X-Men, y'a pas un film, t'sais même Wolverine, Origins ou peu importe là, t'sais j'trouve quand même un certain plaisir de... T'as. [00:01:38] Speaker A: Peut-Être pas eu un avant? [00:01:39] Speaker B: Ben, en fait, le seul que j'ai pas vu c'est Dark Phoenix, le plus récent qui a cancel pas mal la série. C'est le seul que j'ai pas vu, mais même Apocalypse, que les reviews étaient pas super bons, j'ai bien aimé. Pis même X-Men 3, qui va suivre X-Men 2. Moi, je l'aime quand même, mais c'est ça, c'est dur un peu de me détacher de ce regard-là que j'avais quand j'étais petit, pis que c'était la seule offre de super-héros qui existait avec Spider-Man. Fait que, c'est sûr que... Ça laisse sa marque. [00:02:10] Speaker A: Moi, je me rappelle de X-Men 2, mais je ne l'ai pas vu au cinéma. J'étais très jeune à cette époque-là. Mais je me rappelle, c'est... Ma mère, elle avait le DVD, puis je l'avais écouté deux, trois fois. Puis je m'en suis rappelé en écoutant le film. Je suis comme, je le connais, ce film-là. Je ne l'ai jamais écouté à un âge. Souvent, c'était écouté dans l'auto, dans un trajet, avec un petit lecteur DVD portable. Je reconnais ce film-là. La série X-Men, je ne l'ai pas écoutée en norme non plus. N'ayant pas écouté le premier, je ne comprenais pas, mais il y avait des super-héros à tête. Je n'avais pas nécessairement l'âge de comprendre tout ce qui se passait, mais c'était cool. [00:02:59] Speaker B: Puis il s'en passe plus cette affaire parce que t'sais là, on est vraiment dans, ben c'est le deuxième volet évidemment, donc là, l'univers prend un peu d'expansion, plutôt d'ambition parce qu'en termes d'expansion, y'a pas vraiment beaucoup d'ajouts, on va dire, par rapport au premier. Évidemment là, y'a le personnage, le vilain, Stryker, on peut pas s'en passer, on reviendra sur le synopsis. Mais y'a Nightcrawler, sinon, qui est ce petit bonhomme bleu allemand qui se téléporte. Mais à part ça, y'en a pas d'autres vraiment. [00:03:27] Speaker A: Mais je pense que la grande addition c'était Nightcrawler, puis ils ont beaucoup misé parce que c'est un personnage qui est quand même iconique dans les comiques, là, que j'ai lu, puis il pouvait pas nécessairement faire, selon moi, l'histoire qui a été dans le film, il aurait pas pu la faire sans son personnage. Fait que c'était important qu'ils l'ajoutent. Mais non, on a le retour de tous les X-Men. [00:03:49] Speaker B: De tout le monde, ouais, c'est ça. De tout le cast original qui ont pas toutes la même importance par rapport aux premiers. Là, je dirais qu'il y a peut-être Rogue, qui était assez importante dans le premier, là. [00:04:00] Speaker A: On dirait qu'elle est là parce qu'elle a été présentée et qu'elle fait partie de l'histoire, mais moi j'ai pas eu l'impression qu'elle a fait grand-chose dans ce film-là. [00:04:07] Speaker B: À la limite, c'est ça, elle est comme l'histoire C, un petit peu, entre elle et Iceman, qui est rendu son chum, puis Pyro, qui va devenir vilain. [00:04:18] Speaker A: C'est comme l'histoire, on dirait qu'ils ont séparé les enfants des adultes. [00:04:23] Speaker B: Ouais, c'est ça. Mais tu sais, à l'inverse aussi, il y a Storm, Allie Berry, qui prend plus de place. Dans le premier, elle était à peu près inexistante, sauf pour sa catchphrase un peu cheesy à la fin. Mais c'est probablement à cause du fait qu'elle a gagné un Oscar l'année d'avant. Allie Berry, donc peut-être que là, on surfait un peu sur la popularité. Ce qui fait que, par exemple, Cyclops est moins présent dans ce récit-là. Même Gene, d'une certaine façon, n'est pas si présent que ça. [00:04:54] Speaker A: Non, mais Gene, j'ai l'impression que c'est un, excusez du mot anglais, mais un slow burner. On dirait que, tranquillement, son personnage se développe, mais on nous donne des miettes, là, carrément. [00:05:06] Speaker B: C'est dans le 3 que ça va, littéralement, exploser. [00:05:09] Speaker A: Oui, mais souvent, c'est facile de passer par-dessus quand on l'écoute, juste comme ça, parce que... C'est pas un personnage super important, mais elle va « save the day » entre guillemets plusieurs fois. Mais selon moi, l'emphase n'est pas mise dessus, mais elle va l'être plus tard. Parce que c'est un personnage qui est super intéressant, mais justement, vers la fin du film, on le voit un peu mieux. Au niveau des anciens personnages qui sont revenus, il y a des personnages qui n'ont pas perdu de l'importance, ils en ont même pris, mais en premier plan, il y a toujours Wolverine qui est un personnage vraiment mis de l'avant dans les films de Fox, surtout. [00:05:58] Speaker B: Surtout dans celui-là aussi, parce qu'on retrace un peu ses origines. Ce serait peut-être temps de parler un peu de c'est quoi ce film-là, justement, le résumé du film. Ben, c'est essentiellement, on reprend pas mal à la fin du premier. À la fin du premier, Wolverine partait dans une quête identitaire pour justement retracer tout ça. Xavier lui dit, ah, va à, je me souviens plus comment il s'appelle, le barrage ou le lac. Mais va-t'en à tel endroit, puis tu vas retrouver des éléments. Fait qu'il s'en va là, il découvre un immense barrage mais sans plus. Mais il va retourner un peu plus tard. Donc essentiellement on suit, si on se concentre un peu sur les vilains, on suit le récit de William Stryker qui est essentiellement... qui veut détruire, tuer les mutants. C'est pas une grosse surprise, c'est pas mal la tendance de tous les vilains. [00:06:56] Speaker A: Sa motivation c'est clairement qu'il pense que les mutants sont dangereux. Même son fils est mutant. [00:07:03] Speaker B: Il veut l'utiliser, son fils en fait, pour créer un deuxième cérébro qui permettrait de justement retracer tous les mutants et de les tuer instantanément. avec l'aide, entre guillemets, ou le brainwash de professeur Xavier. [00:07:19] Speaker A: Ça m'a vraiment surpris qu'il utilise son fils dans le film parce que justement, quand je lisais le comique, je vais en reparler plus tard, mais son fils n'est pas présent. La simple raison, c'est que oui, il y a un fils qui est mutant dans le film, mais il l'a tué. Dans le film, quand je l'ai vu apparaître, j'ai fait comme « Ah! » Ok, c'est pas pareil. Mais c'est ça, vraiment. Puis cette partie-là montrait vraiment qu'il était un peu sans cœur. Mais il est quand même très sans cœur dans le film. Faut ça l'avouer. C'est pas un personnage qui est aimable. Puis il va aller même jusqu'à la raison pourquoi il va avoir le feu vert pour faire ses crimes de guerre. c'est qu'il va pouvoir contrôler les mutants avec, je sais pas ce qu'ils utilisent, un genre d'enzyme. [00:08:09] Speaker B: Ouais, c'est ça, quelque chose que tu mets dans le cou. [00:08:12] Speaker A: Ouais, c'est ça, il met dans le derrière de leur cou. Bref, il a contrôlé Nightcrawler pour aller attaquer le Président, si je ne me trompe pas, puis ça l'a fait en sorte que le Président... [00:08:21] Speaker B: Contrôle Magnéto pour avoir des informations sur où se trouvait l'école de Xavier, alors que son fils apparemment est déjà allé. Il a peut-être oublié. [00:08:31] Speaker A: C'est bizarre. Ça, cette partie-là était bizarre. J'ai vraiment vu. [00:08:35] Speaker B: Puis à travers tout ça, on apprend aussi que Stryker est pas mal à l'origine de la version 2.0 de Wolverine. On ne connaît pas encore nécessairement toute son origine. On va l'apprendre dans X-Men Origins. Mais essentiellement, c'est lui qui est responsable d'avoir mis l'adamantium, le squelette de métal à Wolverine, alors que dans les comics et dans X-Men Origins, c'est ça, c'est plus des zoos. C'est pas trop clair, mais on dirait. [00:09:04] Speaker A: Que dans ce film-là, ils ont voulu montrer qu'ils mettaient de l'amantium liquide qu'ils avaient injecté ou je sais pas trop, et Wolverine s'avait régénéré. Mais justement, dans les comics, Striker a rien à voir avec ça. C'est pas du tout le même personnage, mais je pense qu'ils ont quand même bien fait de mixer les personnages parce que dans les films, tu peux pas avoir autant de personnages que dans les comiques parce que ça se passe sur des décennies les comiques. C'est pas le même type de médium, donc le fait que Stryker l'aie fait, ça me change pas, ça me chamaille pas, c'est un peu le même type de personnage à Issable. [00:09:40] Speaker B: Donc c'est ça, l'histoire essentiellement ça va être Stryker qui capture professeur Xavier et puis les X-Men, une partie des X-Men qui essaie d'aller le sauver parce qu'il y a eu l'autre partie des X-Men aussi tenues prisonnières à cause d'un raid qu'ils font à l'école justement de Xavier. [00:09:59] Speaker A: Donc ils se sont vraiment attaqués fort. Ils ont kidnappé cher Xavier, ils ont kidnappé des mutants. [00:10:04] Speaker B: Ouais, des enfants. [00:10:05] Speaker A: Des enfants, ouais. [00:10:06] Speaker B: Parce qu'on comprend que Stryker, c'est ça, soit il veut les tuer ou soit il veut les modifier. Ouais. Faire des tests sur les mutants et tout, là. [00:10:14] Speaker A: C'est ça, il voit pas comme ses égaux, là. [00:10:16] Speaker B: Non, c'est ça. Puis celui qui le joue, ben c'est Brian Cox, qu'on connaît peut-être plus récemment, même s'il avait une grosse carrière au moment du film. On connaît plus récemment pour avoir joué le père des Roy, je crois, dans la série Succession, là, qui jouait justement un vilain. Je pense qu'il y a le casting d'un vilain aussi, là. Oui. Je ne l'imagine pas content ce monsieur-là. C'est bien casté. L'autre addition, tu mentionnais Nightcrawler, c'est Alan Cummings, l'acteur britannique qui à peu près à la même époque aussi jouait dans Spy Kids. [00:10:46] Speaker A: Je ne l'avais pas reconnu. [00:10:49] Speaker B: Il était en bleu, avec des cicatrices. C'est un acteur que j'aime quand même bien, mais c'est ça, c'est pas mal les additions, si on veut, de personnages et de casting, parce que sinon le réalisateur reste le même, les writers restent essentiellement les mêmes, puis c'est ça. Donc ça en fait un film un peu plus ambitieux, un peu plus long aussi, 2h15 comparativement à 1h45, qui était ça aussi pas trop court, mais assez court pour le genre. Puis voilà, c'est ce qui résume brièvement X2, X-Men United. Au retour de la pause, on s'intéresse justement parce que là c'est un des rares cas, jusqu'à présent du moins, d'un film qui est basé sur un comics ou en tout cas une run de comics. [00:11:33] Speaker A: Ben en fait justement c'est basé sur un comics, mais c'est rare les films où c'est vraiment très adapté directement d'un comic ou de juste un. Ça l'arrive, mais au niveau des X-Men, à partir de ce moment-là, ça va arriver de moins en moins souvent. Ça va arriver quand même, mais moins souvent. Mais ici, on a une adaptation quand même, j'en reparlerai après, mais assez fidèle de l'histoire du film. [00:12:00] Speaker B: Tu ne m'as pas dit qu'il y aurait un popcorn de fidélité. On ne sait pas trop. [00:12:03] Speaker A: On ne sait pas encore. Il y a des différences. On les explique après la pause. [00:12:13] Speaker B: Vous êtes de retour au Popcorn de l'Infini et on rappelle que l'épisode d'aujourd'hui porte sur X2, X-Men United. David, comme on mentionnait juste avant de partir en pause, c'est le premier film jusqu'à présent de super-héros qu'on voit qui est clairement adapté d'une série en fait ou en tout cas d'un arc narratif défini. [00:12:34] Speaker A: Puis justement cet arc narratif-là, c'est un arc narratif qui n'est pas dans la série X-Men régulière, qui est à part, c'est un numéro spécial de sous 65 pages. Donc généralement, un comic juste comme ça, c'est 21 peut-être? Fait que 65, c'est comme un triple. Trois numéros en un. Puis c'est X-Men God Love Men Kills, qui est sorti en 1982. Donc, on a vraiment l'arc narratif de William Stryker qui profite de sa place dans l'armée pour faire une croisade envers les X-Men, qui va kidnapper Charles Xavier, tout ça. Comme je l'ai mentionné avant aussi, il y a des différences à son niveau. Il n'a pas son fils avec lui, il n'utilise pas son fils avec lui, du moins pas dans ce que j'ai lu. Je ne sais pas si dans les comics, c'est toujours difficile. Des fois, il revient à l'intérieur. En tout cas, dans ce cercle narratif-là qui a été adapté, il n'est pas là, son fils, mais William Sucker va avoir une haine parce qu'il va carrément avoir un fils qui est mutant. Il va tuer son fils, il va tuer aussi sa femme, qui n'était pas mutante, mais il va dire que c'est elle qui l'a rendue mutant. Bref, il y a une histoire vraiment détestable, c'est vraiment quelqu'un de détestable. Dans cet arc narratif-là, Magneto va s'allier avec les X-Men, ce qui n'est pas... pas usuel, mettons, mais Magneto va prendre plus une place dans T-Hero, va moins trahir les X-Men dans les comiques que dans le film, parce que dans le film, il va finir par trahir les X-Men en allant proposer à manipuler Charles Xavier pour qu'au lieu de tuer toutes les mutants, il va tuer tous les humains. Donc ça, c'était pas... [00:14:27] Speaker B: À défaut de les transformer en mutants, il va les tuer. [00:14:30] Speaker A: Ouais, c'est ça. Tu sais, mais généralement, on reste assez fidèle aux comiques d'origine. Donc, c'est sûr qu'il y a des ajouts, des retraits. Tu sais, Rogue n'était pas dans le... le comique God Love Men's Kills. Par contre, tu sais, Le fait de faire une suite au 1, ça fait du sens dans l'univers qu'on crée à la Fox. Donc c'est ça, j'ai lu God Love Men Kills, très bon comique des années 82. Des fois ça fait du bien de retourner dans les anciens comiques parce que les dessins étaient plus simples. [00:15:07] Speaker B: Ouais, ouais, ouais. [00:15:08] Speaker A: Pis moins, t'sais, c'est... [00:15:10] Speaker B: En tout cas, c'est... Ben ça, pis là, t'sais, à cause qu'on fait ce show-là, ça m'influence, pis là, je me suis mis à acheter des comics. Aussi, moi qui n'ai pas... pas que je suis pas un grand fan, mais c'est sûr, je suis un peu souvent découragé par l'ampleur du projet. Mais c'est ça, moi, dans les comics plus récents, souvent, je prends pas la peine de m'attarder au dessin. Juste parce que c'est tellement comme... all over the place que j'sais plus où regarder pis t'sais des fois y'a des pages, 2-3 pages de suite où y'a pas de dialogue pis t'sais tu me disais « Ah si tu veux lire bien du texte, y'a pas des vieux comics » mais moi j'pense j'aime plus les comics avec du texte que ceux pas de texte. [00:15:46] Speaker A: Mais t'sais y'a même entre... t'sais y'a un entre-deux aussi au niveau des années 80 j'trouve que c'est un bel entre-deux parce que c'est pas juste du texte comme ceux-là des années 60 là. [00:15:55] Speaker B: C'est pas mal, je dirais, quasiment l'âge d'or des comics, parce que t'as Marvel qui est d'ici. [00:16:01] Speaker A: L'année 90, c'était un peu moins l'âge d'or, mais l'année 80, c'était assez l'âge d'or des comics d'une génération au complet. [00:16:11] Speaker B: On se permettait d'aller plus loin dans les thématiques, dans le dark. [00:16:15] Speaker A: Oui, il y avait vraiment une variété de l'offre, c'était pas juste... C'était pas juste les mèmes qui revenaient. Il y avait une grande variété. Marvel était en expansion aussi. Fait qu'ils ont sorti beaucoup, beaucoup de contenus. Puis beaucoup de choses. Puis dans les années 90, ils ont fait un peu la même erreur qu'ils ont faite avec les MCU. On va reparler, mais ils en ont sorti trop. Les gens n'étaient plus capables de les lire. Mais ça, on va y revenir une autre fois. Surtout quand on va rentrer dans Spider-Man. Bref. Donc, God Love Men Kills qui est vraiment le pilier important du film. Par contre, le film rajoute un certain aspect à ça. C'est l'origine de Wolverine qui n'est pas dans God Love Men Kills. Par contre, l'origine de Wolverine, pour m'informer un peu de ça, j'ai été lire Weapon X qui est très difficile à obtenir en termes de comiques parce que c'est des comiques de 8-9 pages chacun. Puis, il n'a pas été bien conservé. Donc, il est dans des reprints, mais je ne pourrais même pas te dire à quelle année il est sorti parce qu'il est demain. [00:17:15] Speaker B: Ça, Weapon X, c'est-tu X-Men ou c'est Wolverine? [00:17:21] Speaker A: Weapon X, c'est une série de... En fait, tu fais bien de poser la question. C'est une série de comics qui est liée à l'univers des X-Men. Dans ceux que j'ai lu, parce que Weapon X est revenu plus tard sous une autre forme, mais dans ceux que j'ai lu c'est carrément l'origine de Wolverine. Donc tout ce qu'on voit un peu dans le film où est-ce qu'il se fait mettre dans un genre de bain. Ou est-ce qu'il se fait injecter de la damantium? Je ne sais pas trop comment ça marche. Dans les comiques, encore moins. [00:17:50] Speaker B: Dans le film, ça m'a fait rire. Il y a une scène où on voit de la damantium liquide. Puis là, il est comme, ah, c'est liquide, mais une fois que c'est solide, on ne peut plus rien faire avec parce que ça devient indestructible. Puis là, je suis comme, comment vous l'avez eu, liquide? [00:18:04] Speaker A: Oui, c'est ça. Dans les comiques, c'est... En tout cas, moi, c'était vraiment... J'ai reconnu la machine qui a transformé Wolverine. Mais grosse différence, c'est pas William Stryker qui va être à la tête de ça. Il va faire des expériences sur la Dementium un peu plus tard dans les comiques quand il va revenir. Mais ce n'est pas du tout la personne qui est responsable. Donc il n'y a pas cet aspect-là que je trouvais intéressant dans le film. Déçu qu'il n'y ait pas dans l'économique? Je ne sais pas. C'est quand même concis l'histoire. On peut comprendre assez vite que William Stalker n'est pas une bonne personne. Il y a le team-up avec Magneto. Puis aussi j'ai lu justement Magneto, parlons-en, parce que j'ai trouvé intéressant son apparition dans le deuxième film d'X-Men parce que c'était le vilain dans le premier film, puis là c'est comme plus trop le vilain. C'est dur de savoir ses intentions, mais en fait on peut comprendre à Magneto justement j'ai lu Classique X-Men numéro 12 qui est sorti en 1987 c'est un comique qui est basé sur... ben c'est un comique d'X-Men qui démontre un peu... on m'a dit de lire ça pis justement je ne regrette pas de l'avoir lu parce que ça montre un peu ce que Magneto pense Puis dans le fond, ce qu'on apprend, c'est que Magneto, déjà là, il est un but lui-même, donc ce qu'il dit, je ne suis pas sûr que je peux tout le croire, mais bref, il dit « Moi, je pourrais écraser les experts de n'importe quand dans leur dos, les prendre par surprise, mais je ne le fais pas parce que je veux les voir quand je vais les éliminer. » Donc là, c'est comme « OK ». Puis tout au… mais il parle tout… de son plan sous forme, on dirait que c'est une grande partie d'échec avec Charles Xavier. Ce qu'on voit dans le film, je trouve que ce qui est super bien adapté dans le film, c'est qu'on voit qu'ils sont en termes d'alliés, pas alliés. Ils ont vraiment une façon différente de voir les choses, mais il y a une amitié qui était là. Puis en regardant les comiques, j'ai pu voir comme Il voit vraiment pas les choses de la même façon que Charles. Puis, avec ses revers avec les X-Men, ça devient éventuellement personnel. Il veut s'en prendre à eux autres. Puis, il veut gagner sa partie d'échec. [00:20:29] Speaker B: Mais là, la menace, c'est Stryker. Parce que si tous les mutants meurent. [00:20:34] Speaker A: Ça l'inclut lui aussi. Dans son ordre de priorité, il va avoir protégé les mutants parce que les mutants, selon lui, c'est l'espèce supérieure. Puis après ça, c'est les X-Men qui veulent se débarrasser, tu sais. Mais il y a beaucoup d'ambition de prendre contrôle du monde, le contrôler par lui-même, beaucoup d'ambition comme ça. Bon, c'est un peu... ça fait stress super vilain, mais ça m'a permis de lire, justement, Classic X-Men n°12. Ça m'a permis de comprendre d'où est-ce que ça venait, ça, puis pourquoi qu'ils agissaient comme ça, parce que dans le film, il est dur à... à 16e, de quel bar qu'il est, on sait que c'est un vilain, mais ils travaillent beaucoup ensemble, puis à un moment donné, ils sauvent l'X-Men d'un crash. [00:21:17] Speaker B: Ça se clarifie dans le 3 où là, il y a vraiment une polarisation. On va en parler dans le 3 rendu là. [00:21:23] Speaker A: Mais t'sais, faut se rappeler que c'est un vilain parce que dans le 2, on le voit pas tout le temps, mais à un moment donné, on le voit. Mais faut toujours se rappeler puis être sur nos gardes parce que C'est quasiment. [00:21:34] Speaker B: Un peu la relation entre Thor et Loki dans les plus récentes. C'est comme Loki est méchant. [00:21:41] Speaker A: Dans les films, oui. [00:21:41] Speaker B: Loki est méchant, mais des fois il est gentil. Ça fait que tu ne sais plus. [00:21:46] Speaker A: Trop s'il est méchant ou gentil. C'est encore plus iconique Thor et Loki parce que Loki va vraiment changer de camp souvent. Nouvelle addition à ce comic-là, ben pas à ce comic-là, au film, Nightcrawler. En fait, lui, il est présent dans God Love Men Kills, puis justement, ce que j'expliquais, c'est que j'aurais pas vu l'histoire faite autrement, parce que c'est une partie importante de l'histoire. En fait, dans le comic de God Love Men Kills, Charles Xavier se fait capturer, puis Cyclops aussi, qui se fait capturer un autre X-Men. Je sais pas lequel. Ça fait un petit bout, je l'ai lu, ça fait deux semaines. Mais au départ, Stryker va obliger Charles-Xavier à tuer les X-Men et va utiliser un peu... aller d'un côté différent là que d'utiliser son fils pour le manipuler. Il va vraiment aller du côté c'est Dieu qui te le demande. Il manipule un peu comme ça. [00:22:52] Speaker B: Ouais parce qu'il est très croyant. [00:22:53] Speaker A: Il est très croyant William. Ben, en fait non mais Stryker. Stryker dans les comics, Stryker va être croyant puis il va utiliser un peu... Ah oui c'est ça, c'est ça. Il y a une grosse différence entre les films c'est que dans les... Dans le film c'est pas très bien démontré mais dans les comics il est très croyant. Puis il va justifier ses actions par sa foi. Il va dire que les humains sont parfaits parce que Dieu les a créés comme ça, mais que les mutants ne sont pas. Donc il va vraiment être C'est pas. [00:23:22] Speaker B: Dieu qui a créé les mutailles, c'est. [00:23:23] Speaker A: Pas moi qui ai fait ça. Non, non, non. Mais c'est ça, il va vraiment utiliser sa foi pour défendre ses idées, puis il va contrôler un peu Charles Xavier de cette façon-là, par sa foi, par dire... Mais vraiment, on a un personnage beaucoup plus croyant dans les comics, ça a une assez grande différence avec les films. Au niveau de Rogue et Iceman, Je. [00:23:49] Speaker B: Te demandais, hors d'onde justement, est-ce que leur relation est la même que dans le film? Parce que là, ils ont une petite amourette d'adolescent. [00:23:56] Speaker A: Ouais, mais non, c'est pas canon dans les comiques. Par contre, il y a eu des comiques en particulier dans les années 90, post Age of Apocalypse. qui s'en vont sur un genre de road trip, séparés des X-Men, mais c'est une amitié en fait. Puis, fun fact, ils s'en vont voir séparés à Bobby. Donc, ce qu'on voit un peu dans le film, mais non, ça reste une amitié le fun dans les comiques qu'il y a eu, une petite interlude, mais sans plus. Dans les films, c'est sûr. [00:24:30] Speaker B: Dans les films, je pense que c'est ça. Ça permet un peu de poursuivre l'arc narratif de Rogue qu'on a perdu de vue, mais qu'on se questionne à savoir comment elle va faire pour être en couple si elle ne peut pas toucher personne, essentiellement. Ça met beaucoup de questions sans amener les réponses nécessaires. [00:24:49] Speaker A: Non, c'est ça. Ça n'avance pas beaucoup dans ce film-là, honnêtement. [00:24:53] Speaker B: Mais c'est ça, mais je trouve que... J'ai hâte de voir si tu vas considérer qu'ils sont fidèles finalement ou pas. Mais si t'as fini ton tour d'horizon. [00:25:03] Speaker A: Des comiques... Oui, j'ai fini mon tour d'horizon des comiques. [00:25:05] Speaker B: On peut parler justement un peu plus du film. Avec ce nouveau regard maintenant qui t'a vu le premier, ce que t'avais pas vu quand t'étais jeune, comment tu l'as trouvé celui-là? [00:25:17] Speaker A: Maintenant que j'ai un âge où je peux comprendre l'histoire, j'ai pas juste 8 ans, Non, j'ai bien aimé écouter X-Men 2. C'était pas un film que j'ai fait « wow » comme… d'autres films, j'suis pas... t'sais... Mais j'aime beaucoup les différents personnages, les combats un peu idéologiques entre Magneto et Charles Xavier, pis y'en avait pas beaucoup. On a vraiment un vilain qui est détestable, Stryker. Mais ça reste un bon film, y'a beaucoup d'enjeux, à un moment donné tout se passe en même temps. Magneto manipule Charles pour qu'il tue tous les humains, ce qu'il y avait pas dans les comiques. T'as Stryker qui essaie de s'enfuir, puis Wolverine qui l'empêche. [00:26:05] Speaker B: T'as les autres qui essaient de sauver les enfants. [00:26:08] Speaker A: Ouais, tout se passe en même temps. [00:26:10] Speaker B: Je trouvais ça quand même pas si... Ça devait être un chaos à monter dans la salle de montage. [00:26:15] Speaker A: Ben oui, en plus le barrage hydroélectrique est en train d'exploser. Tout se passe en même temps. Il n'y a pas de stop, puis à un moment donné ça déboule, puis j'ai pas senti... J'avais mon prof de cinéma dans le tête qui me disait « Ah, t'as pas suivi la forme de la baleine ». Puis je vais t'expliquer c'est quoi la forme de la baleine de toute faite. C'est qu'il y a un principe en termes de scénario qui dit que ton récit en termes de puissance, en termes d'intensité doit avoir la forme d'une baleine. Donc, quand tu commences avec l'introduction, tu commences déjà quelque part sans nécessairement expliquer le début. Tu sais, tu pars pas de zéro, mais éventuellement t'atteins comme un sommet ou un peu au début du film. Puis là, t'en redescends, puis là tu rentres dans le passé, puis les motivations, puis tout ça. Puis à un moment donné, juste avant la fin, t'en remontes comme la queue de la baleine, puis la révélation, tout ça. Fait que cette forme-là, narrative de la baleine, Je l'ai trouvé qu'elle était inversée. On commence assez tranquille. Après ça, il y a un détente mort, surtout quand on s'en va chez les parents de Bobby. Détente mort. Après ça, hop, ça monte. À un moment donné, ça n'arrête plus. On n'a plus le temps de respirer. Mon seul commentaire, c'est que j'avais mon prof dans ma tête qui me disait « Là, ça va pas respecter le style narratif de La Baleine, qui est utilisé pour beaucoup de films. » Mais à part ça, j'ai eu du... Bon, on va en parler durant les pop-corn, mais j'ai eu du fun à regarder ce film-là. J'ai eu une belle continuation du premier. Il n'y a pas... Continuation. Continuité. Il n'y a pas de... Mais sans plus. Il n'y a pas... Je n'ai pas... Ce n'est pas quelque chose qui a changé ma vie, mettons. Même que j'ai trouvé... J'ai eu plus de fun à regarder Dirty... J'irais dire ça parce que Daredevil, au moins... [00:28:13] Speaker B: J'ai eu plus de fun à lire, moi, Daredevil. [00:28:15] Speaker A: C'est ça, mais c'est pas si bon comme film, mais c'est divertissant. Alors que quand on arrive avec X-Men 2, c'est un film qui est plus sérieux, qui est... Aussi, l'univers des X-Men avec la Fox, c'est pas du tout le même univers que Marvel a tenté d'établir avec son MCU, simplement parce que Marvel a été dans l'univers un peu plus humoristique, moins sérieux, à quelques exceptions, à part quand on est facile à moitié de l'univers, mais à part ça, c'est toujours resté un peu plus humoristique. Fait que là, on dirait que la Fox, elle, elle a pris l'approche vraiment sérieuse. Il manquait l'aspect... Drôle. Wolverine, il franchit un peu ça parce que c'est un personnage qui est quand même assez intéressant et drôle, mais il manquait cet aspect-là. Je m'ennuyais un petit peu des one-liners cheesy du premier, surtout Storm. [00:29:18] Speaker B: Je comprends mais moi c'est ça, moi c'est le contraire en fait. Moi j'aime les films sérieux. [00:29:23] Speaker A: Mais ça m'en prend, mais je m'attendais pas à ça d'X-Men. Je m'attendais à ça de Blade, de Punisher, de... Batman. [00:29:35] Speaker B: Ouais, c'est ça, Batman. [00:29:36] Speaker A: C'est tel que tel. Je m'attendais à ça, un film sérieux. Puis on dirait que Marvel a tendance à faire l'inverse. Présentement avec Disney, ils ont tendance à mettre tous les films pas sérieux, genre tard. [00:29:51] Speaker B: Ouais, mais t'sais je comprends ton point pis t'sais c'est une réflexion assez intéressante parce que moi j'aime quand c'est sérieux pis c'est peut-être pour ça que j'aime plus X-Men que ben d'autres franchises qui sont corrects mais sans plus. Mais t'sais, je... D'un autre côté, tu peux pas prendre des super-héros pis faire... ben pas faire comme si c'était sérieux là, mais tu sais, à la base, c'est un peu ridicule qu'il y ait des super-héros dans la vie. [00:30:19] Speaker A: À la base, c'est des bonhommes avec des costumes flashy qui se promènent. [00:30:22] Speaker B: C'est ça, c'est ça. c'est normal de verser un peu vers le comique ou l'auto-dérision parce que voir que ça existerait ou voir que s'il y avait des mutants il y aurait tout un soute là. [00:30:37] Speaker A: Ça dépend du personnage parce que souvent les super héros souvent ils ont ce caractère qui est divertissant puis les anti-héros comme Magneto vont avoir un caractère plus sérieux. Fait qu'ils vont avoir vraiment un contraste Mais dans les films, on dirait qu'on n'accepte pas ça. Alors c'est moins accepté. Fait que là, on fait des vilains qui ne sont pas sérieux. On dirait qu'on n'est pas capable d'avoir une dichotomie du genre cinématographique dans les films. [00:31:13] Speaker B: Ouais. Non, je comprends pis... Mais t'sais c'est ça, moi je pense que cet aspect sérieux là me plaît pis t'sais même Spider-Man. Spider-Man est comme sur la ligne là en fait entre le... Il y a des bouts de goofy. [00:31:25] Speaker A: Pis il y a des bouts de... Mais ça c'est bien fait. [00:31:26] Speaker B: C'est ça, je pense que c'est le meilleur mix en fait. C'est juste la bonne dose d'un pis de l'autre. [00:31:32] Speaker A: Sam Raimi le fait très bien. Ouais c'est ça. [00:31:35] Speaker B: Marvel a viré trop vers le goofy pis mettons d'autres films virent trop vers le sérieux. [00:31:40] Speaker A: Ben, d'or sans rien avoir goût. [00:31:43] Speaker B: Faire un film sur Ant-Man sérieux, personne va prendre ça au sérieux. [00:31:47] Speaker A: Non, mais c'est ça, Ant-Man c'est pas supposé être sérieux. [00:31:49] Speaker B: Non, non, non, c'est ça. Mais t'sais moi je l'aimais, pis un aspect que j'aime vraiment beaucoup pis que je trouve qui... se perd un peu dans le MCU officiel. C'est l'espèce de construction narrative sur trois films, sur une trilogie. Tant Spider-Man que X-Men, j'ai l'impression, tu sais, un peu comme une série, j'ai l'impression de voir les personnages évoluer au fil des films. Ce que j'ai pu l'impression dans les films du MCU, tu sais, mettons les trois torts, les quatre torts, peu importe. Là, j'ai l'impression que, à la limite, le vilain a été choisi en fonction de comment est-ce qu'on peut développer les arcs narratifs des autres personnages. T'sais, Jean vit des répercussions de... de la... en tout cas, de... ouais, on a la statue de la liberté, puis tout ça, les rayons qui sont... puis ça va culminer dans le troisième film. Cyclops aussi vit un peu les contre-coups de tout ça. Il est moins présent dans ce film-là, il va revenir... ben, ouais, il va disparaître et revenir dans le troisième. [00:32:50] Speaker A: Mais Wolverine aussi, justement, il y a une raison pourquoi ils ont fait en sorte que Stryker, ils ont voulu intégrer cet élément-là qui est super intelligent. Ça permet que son personnage ne soit pas juste resté stagnant pendant un film. [00:33:04] Speaker B: Non, c'est ça. Puis tu sais, je trouve que dans les nouveaux du MCU, c'est juste... leur trilogie à l'interne, parce que dans les faits, tous les films se suivent un petit peu. Mais dans les trilogies à l'interne, j'ai l'impression juste de voir les mêmes personnages que le premier film dans une autre aventure. Alors que là, j'ai vraiment le feeling que la fin du 2 va être importante pour le 3. Alors que dans l'MCU, la fin de Thor 2 va peut-être être importante pour Agents of S.H.I.E.L.D. saison 3, épisode 4, puis après ça, c'est quelques éléments qu'on va avoir plus tard. À part les Avengers où il y a... [00:33:40] Speaker A: C'est quand même un univers trop large. À un moment donné, si j'ai besoin pour aller voir au cinéma Captain America Brave New World, J'étais un fan du MCU, mais la série Falcon and the Winter Soldier sur Disney Plus, je n'ai pas été capable de l'écouter. J'ai essayé, mais je n'ai pas été capable. Je suis allé voir le film, mais je ne comprenais pas tout. Parce qu'il manquait des éléments. Il manquait des éléments de ci, de ça. Si tu allais voir Deadpool et Wolverine et que tu n'avais pas vu la série Lucky, tu ne savais pas c'était qui Leave Lane. [00:34:16] Speaker B: Ben moi je savais pas c'était qui le vilain. Je l'ai pas vu la série Loki. [00:34:19] Speaker A: Mais c'est justement, c'est la TVA qui est très présente dans Loki. Mais tu vois, c'est toutes ces choses-là qui sont pas nécessairement expliquées. [00:34:30] Speaker B: C'est ce que je trouve désolant un peu parce que tant qu'à faire une trilogie, mettons les Gardiens de la Galaxie ont réussi à le faire quand même, une belle évolution de personnage. Mais à part ça, tu sais, même Spider-Man, je trouve pas que c'est une si belle évolution. Tu sais, même le No Way Home, oui, il y a des affaires importantes pour le petit univers à Spider-Man, mais ultimement, c'est pour, bah, tu sais, le multiverse, puis, tu sais, tout ça, là. Tu sais, tu sens qu'il y a autre chose. [00:34:53] Speaker A: – On dirait que les films travaillent tous pour le narratif unique, au lieu de que le narratif unique aide chacun des univers pourrait vivre, chacun des films pourrait vivre, puis des franchises pourraient vivre ce qui se passe dans l'univers principal d'une façon différente, mais là, on essaie de... Chaque film pousse l'histoire principale Fait qu'on se ramasse avec juste un télé-novela de super-héros. Bref, l'état du MCU présentement, ça va pas super bien. Financièrement non plus. Ils font beaucoup de flops. [00:35:32] Speaker B: Mais c'est ça, c'est ce que j'aime de X-Men 2 parce que là, je vois une continuité, même plus grande que dans Blade 2 qui était la première suite qu'on a vu. On va voir Spider-Man 2 dans le prochain épisode aussi. Mais c'est ça, y'a des éléments de continuité pis c'est ce que j'aime beaucoup pis on dirait que ça me permet d'outrepasser certains défauts du film, que je pardonne moins, mettons, au MCU. Pis je trouve que c'est un des rares films aussi où le acting est quand même bon. Souvent c'est ça, c'est soit un peu goofy ou peut-être les personnages ont pas l'air de jouer dans le même film des fois. Puis là, je trouve que Jean, même si elle est moins présente, est vraiment bonne pour porter un peu l'espèce de descente qu'elle est en train de vivre. Bon, Wolverine, tu sais, Wolverine, il est toujours comme ça, mais même Stryker, je le trouvais crédible, même si c'est comme... Le vilain par excellence, il n'y a aucune qualité. [00:36:28] Speaker A: Nightcrawler aussi, j'ai bien aimé. [00:36:30] Speaker B: C'est un peu nerveux, il parle en allemand aussi. [00:36:33] Speaker A: C'est pas comme ça que je le lisais, parce que quand tu le lis, il n'y a pas d'accent. C'est pas comme ça que je le lisais, mais je le trouvais quand même assez bien. [00:36:40] Speaker B: Mais c'est ça, moi je l'ai vraiment beaucoup aimé pis je pense que je l'ai mieux aimé que le premier même. Tu sais, pas pour les mêmes raisons là. Là je trouve qu'ils ont réussi à faire beaucoup sans trop nous déstabiliser, mettons. Alors que dans le premier, c'était juste une histoire très tight pis on s'en va du point A au point B pis ça finit là. [00:37:01] Speaker A: Ouais, pas trop le choix non plus. Il fallait qu'ils introduisent le phénomène, tout ça. [00:37:06] Speaker B: T'sais là t'as quasiment 4 histoires essentiellement dans ce film-là pis on s'y perd pas trop à part peut-être dans cette finale-là où tous les éléments convergent vers l'explosion du barrage pis tout ça. Mais c'est ça, moi je l'ai particulièrement aimé fait que c'est dans mes préférés qu'on a vu jusqu'à présent. Je pense quand même que Spider-Man est un petit peu supérieur juste parce que c'est... c'est plus simple de faire un bon film avec juste un bon personnage. C'est comme si t'aimes Cyclops, ben t'aimeras pas ce film-là parce qu'il est pas tant dedans. Alors que ça dépend à quel personnage te plaît le plus. Même dans le prochain X-Men aussi, il va y avoir Kitty qui est celle qui passe à travers les murs. Il y a encore une autre expansion qu'on va vivre dans le prochain film. Dépendamment du super-héros que t'aimes le plus, ben, ça va influencer un peu ton appréciation. [00:37:59] Speaker A: Parlant juste comme ça, si on avait Magneto dans la MCU, on s'entend-tu que... On s'entend-tu que... Les Avengers seraient dans la merde. [00:38:09] Speaker B: Ouais, ben oui, ben oui. [00:38:10] Speaker A: Excusez mon langage, mais... [00:38:12] Speaker B: C'est dommage qu'il n'y soit pas pour l'instant. Les X-Men s'en viennent tranquillement. Mais ouais, c'est ça. Magneto, c'est un des meilleurs vilains, je trouve. Il est comparable à, mettons, Docteur Octopus ou dans les meilleurs vilains ever, selon moi. [00:38:24] Speaker A: Oui, mais juste le fait qu'aussi dans le MCI, ils ont toutes des armures en métal. [00:38:29] Speaker B: Oui, bien c'est ça. [00:38:31] Speaker A: Vibranium, puis tout ça. Ça serait vraiment intéressant de le voir. J'étais déçu que je ne sois pas dans Deadpool et Wolverine, j'aurais aimé. Voir Magneto. [00:38:43] Speaker B: J'espère qu'on va le revoir parce que l'acteur s'en vient vieux un peu. Ça va peut-être être un Rikas, ça va peut-être être Michael Fassbender qui est dans les nouveaux X-Men. En tout cas, je sais pas trop. [00:38:51] Speaker A: Non, mais j'ai hâte de... En tout cas, c'est le genre de choses que j'aimerais voir parce qu'ils ont vraiment une grande faiblesse, les super-héros du MCU, c'est qu'ils utilisent beaucoup de métaux. [00:39:01] Speaker B: Ouais. Je veux juste y aller vite vite avec les trivia avant qu'on aille à l'octroi des popcorns. On a basé en fait la construction narrative du film sur Star Wars, ben épisode 5 là, mais qui est le deuxième là en fait, où toute la gang du premier est comme divisée, ce qui permet d'approfondir telle ou telle histoire chacun de leur bord. Fait que je trouve que c'est habile surtout quand t'as un cast aussi grand ou en tout cas autant de personnages que ça. On a failli... En fait, ça devait être Dark Phoenix, la saga Dark Phoenix, le deuxième film. Mais Zak Penn, qui est un des auteurs, a dit non parce qu'il n'y a pas assez de build-up encore pour culminer vers ça. Bon, ça va être le troisième film finalement. ça et autre chose. C'est ça, Land 3 aussi, ils ont voulu faire ben des affaires. À cause justement parce qu'il y avait un peu carte blanche parce que le premier film avait été un succès, le deuxième film est également un succès. Le box-office 400 millions à peu près sur un budget de 110 à 125. Dans le premier on avait autour de 75-80 millions de budget, fait qu'on a eu un boost de budget aussi. Mais... C'est ça, donc finalement on a décidé de reléguer ça et d'autres choses, notamment Gambit, notamment les Sentinels. Il y avait Beast aussi, puis Angel qu'on va finir par introduire plus tard dans cet univers-là. Fait qu'il aurait pu y avoir beaucoup plus de choses, puis finalement on a réussi à garder ça un peu plus grounded. Le tournage a été fait au Canada aussi, puis ça a été le plus gros, à l'époque, ça a été le plus gros tournage hors Hollywood de l'histoire. On parle de, je l'étudie en quelque part là, mais 64 sets différents, dans 38 lieux de tournage différents. Ce qui est quand même intense, ils sont vraiment allés tourner dehors, justement. Il n'y avait pas de neige, ils ont mis de la fausse neige, bref, ça a coûté cher. [00:40:49] Speaker A: Mais le barrage hydroélectrique va sévèrement... Ouais, ouais, ouais. [00:40:52] Speaker B: Si on n'est pas à le faire exploser... On ne va pas en faire exploser un vrai. Non, non. Mais c'est ça. Ça a été un long tournage. Puis, il y a... Ça, j'ai trouvé ça drôle. Après le tournage du film, on a proposé à Hugh Jackman de jouer Punisher. Ce qu'il a refusé parce qu'il était en tournage dans un autre film, mais Punisher va sortir en 2004, juste l'année d'après. Ça aurait été weird de... Tu sais, je comprends que l'idée du MCU existait pas encore, mais... Ouais, ça aurait été weird. C'est ça, d'avoir deux super-héros. Ben quoi que Ryan Reynolds est rendu à trois. [00:41:26] Speaker A: Ouais, mais c'est pas pareil. Non, c'est pas... C'est vraiment pas pareil. [00:41:31] Speaker B: Et puis, ben, c'est à peu près ça pour les petits trivia, pour vrai. Il y en a d'autres, notamment, justement, il y a eu plusieurs scènes qui ont été coupées, notamment beaucoup qui concernent le Cyclops, malheureusement. Mais pour en donner d'autres à Halle Berry, justement, comme j'expliquais, qui était un petit peu plus populaire à l'époque. Mais c'est ça, il n'y avait pas une tonne de trivia non plus sur ce film-là. Mais ultimement, je trouve que c'est vraiment... Pour moi, il est un peu supérieur au premier, ou en tout cas au moins équivalent dans mon appréciation et dans la qualité, je trouve, du film. Même si, c'est ça, il est clairement plus ambitieux. Mais c'est rare que je dise ça. Souvent le premier, pour moi, dans une trilogie, c'est souvent le meilleur. Mais non c'est ça, c'est ça qui est drôle parce que pour X-Men finalement je pense que je préfère un peu le 2 puis pour Spider-Man je préfère le 2 également. [00:42:24] Speaker A: Spider-Man pour moi, évidemment spoiler pour le prochain épisode, je préfère le 2, là il est vraiment, c'est le meilleur de la trilogie. Bon, si on parle de Amazing Spider-Man, là, c'est pas pareil. [00:42:36] Speaker B: Ouais, non, c'est pas pareil. Il y a une raison pourquoi ils ont arrêté à deux. Ouais, c'est ça. Donc, ben voilà. Ça finit notre petit tour d'horizon. Au retour de la pause, ben, on s'intéresse aux popcorns qu'on va octroyer au film, donc restez des nôtres. Vous êtes de retour au popcorn de l'infini et puis maintenant c'est le temps d'octroyer nos fameux popcorns à X-Men 2. Donc David, rappelle-nous, c'est quoi ces 6 popcorns-là encore une fois? [00:43:05] Speaker A: Justement, j'ai hâte de les attribuer ces popcorns-là. On commence avec l'espace, le popcorn de l'espace qui est l'importance avec le MCU. Ensuite, il y a le popcorn de la réalité, le réalisme du récit, le popcorn du pouvoir. qui est la qualité des scènes d'action ou des effets spéciaux. Puis ensuite, il y a le popcorn de l'âme, qui est le respect de l'âme du matériel source ou le comic à QSC. Ensuite, il y a le popcorn de l'esprit, le fun factor, est-ce que c'est un bon film, un bon scénario? Ensuite, il y a le popcorn du temps, est-ce que c'est un film intemporel? Est-ce qu'on va en garder un bon souvenir? Donc, on va revenir au début. Avec le popcorn de l'espace, est-ce que ce film-là a une importance avec le MCU? [00:43:45] Speaker B: Ben, je crois pas. Pas à l'heure actuelle. [00:43:49] Speaker A: Non, je pense pas. [00:43:50] Speaker B: Tous les films pré-MCU. Ben, tu sais, il y a les Spider-Men qui vont avoir une certaine importance sur ce film. [00:43:55] Speaker A: Ouais, mais on verra. On le donnera à Spider-Man 1 parce que... Norman revient. [00:44:02] Speaker B: Il y a peut-être Amazing Spider-Man 2 qui va se le mériter aussi à cause d'Electro qui revient. Peut-être. [00:44:09] Speaker A: On va voir. Mais celui-là n'a pas vraiment d'importance. [00:44:14] Speaker B: Jusqu'à ce que Magneto revienne dans le portrait. [00:44:17] Speaker A: Même là je prendrais un film où est-ce que c'est lui le vilain. Au niveau du popcorn, la réalité, est-ce que le récit est réaliste dans le terme où est-ce que les mutants existent? [00:44:26] Speaker B: Oui, c'est ça. Encore une fois, comme dans le premier film, il y a certains trous scénaristiques. Justement, ce petit liquide qui permet de contrôler les mutants. On ne sait pas trop d'où ça vient. [00:44:40] Speaker A: C'est juste la Damantium liquide. Je ne sais pas d'où ça vient. [00:44:43] Speaker B: Oui, c'est ça, la Damantium. Malgré tout, ça reste relativement réaliste ou en tout cas ça a une visée réaliste. On n'est pas dans le goofy non plus, on essaie de justifier au possible tout ça. Moi il y a juste... C'est ça, tu sais, mettons, il y a une scène où, je l'ai pas mentionné, mais tu sais, il y a une scène au début où tout le monde dans un musée freeze. Puis là, c'est juste les mutants qui se jasent entre eux autres parce que Xavier a immobilisé tout le monde. Ça aussi, tu sais, c'est un peu tiré par les cheveux parce que, tu sais, s'il y a quelqu'un qui rentre dans le musée à ce moment-là, est-ce que lui aussi, tu sais, ça a été quoi son rayon d'immobilisation? [00:45:28] Speaker A: En fait, moi, ma théorie face à quand tout le monde freeze, là, je sais pas si ça va se modifier au cours du temps, mais ma simple théorie face à ça, c'est que les gens freezent pas réellement, c'est qu'ils vont dans la tête de quelqu'un, comme ça. Ouais, ouais, ouais. Ça fait la séparation quand il est dans la tête de quelqu'un puis qu'il parle avec la personne versus quand il parle en vrai. Mais selon moi, parce que je pense pas qu'il a le pouvoir d'arrêter le. [00:45:53] Speaker B: Temps, là, Non, non, non, ça arrête pas le temps parce que dans cette scène-là, il y a la télé qui continue à jouer aussi. [00:45:58] Speaker A: Oui, c'est ça. [00:45:58] Speaker B: Non, non, je sais que ça arrête pas le temps, mais c'est comme, tu sais, quelqu'un qui rentre à ce moment-là dans le musée. [00:46:03] Speaker A: Ouais, non. [00:46:03] Speaker B: Pis tu les vois, hein? Qu'est-ce qui est en train de passer? [00:46:05] Speaker A: C'est pas sûr que Charles est capable de contrôler, là. Tout comme un espace, quelqu'un rentrerait. [00:46:11] Speaker B: Ouais, mais là t'sais, moi c'est sûr t'sais... Mais t'sais, globalement, à part ces petites incohérences ici et là... Ça reste réaliste. Ouais, c'est ça, ça reste réaliste, la visée est réaliste, puis... C'est ça. Non, j'y donnerais, mais je tiens quand même à souligner certains. Ça ou, t'sais, comme j'ai dit tantôt, qu'il sache pas où l'école où son fils est allé apparemment. À moins que c'était pas cette école-là dans le temps. [00:46:37] Speaker A: Sur le striker, il y a des petits problèmes de mémoire. [00:46:39] Speaker B: Ouais, c'est ça. J'ai mis l'adresse. [00:46:40] Speaker A: Ouais, il est parti d'affaire, c'est ça. [00:46:44] Speaker B: Bon, Popcorn du pouvoir. [00:46:46] Speaker A: On est done pour la réalité. Popcorn du pouvoir, la qualité des scènes d'action et les effets spéciaux. Ça se voit qu'ils ont mis plus d'argent dans ça. [00:46:51] Speaker B: Ouais, ouais, ouais, ouais. Pis t'sais, il y a quand même certaines scènes d'action assez intéressantes. Oui, la scène avec l'espèce de coming out mutant de Bobby avec ses parents, ça sert à rien. Mais après ça, il y a une scène d'action assez intéressante avec plein de policiers, puis des explosions pyro, que là, on commence à sentir qu'il est vilain. l'explosion du barrage, il y a la scène finale justement où l'eau monte puis le vaisseau est en danger. Honnêtement c'était quand même bien, même si ça prend du temps avant qu'il y ait de l'action. La première vraie scène d'action, outre peut-être la tentative d'assassinat qui ouvre le film essentiellement. ça reste comme l'espèce de raid au manoir de Charles-Xavier. Ça arrive quand même à 40 minutes dans le film. Ça prend du temps, mais une fois qu'on y part, puis c'est ça, une partie de rythme, tu dis qu'après, tout se chamboule, puis ça va vite. [00:47:48] Speaker A: Puis les effets spéciaux aussi pour Cérébo, qui est fait pour représenter... Je pense que généralement, ça se mérite. [00:47:55] Speaker B: Le popcorn Ouais, pis la scène où ils se battent, où Wolverine se bat avec, je me souviens plus comment elle s'appelle le personnage féminin, Death Strike en fait. [00:48:03] Speaker A: Écoute, oui je me rappelle du personnage, je m'en rappelle plus du nom. [00:48:06] Speaker B: Ouais ben c'est ça, elle est complètement, c'est le bras droit de Stryker, le mec qui est comme une version fille de Wolverine, mais que là c'est ses ongles qui sont en train de mentir. Tu sais, si la scène d'action est cool, surtout comment elle meurt aussi, je trouvais ça quand même cool, elle finit, ben là, spoiler alert, pour un film de y'a 20 ans. Il l'injecte de damantium pis ça lui sort des yeux pis de tout ça. C'est quand même assez trash, mais cette scène-là, pas que je l'ai souvent en tête, mais je m'en souviens. Ouais, je m'en souviens aussi. J'ai bien aimé les scènes d'action dans le film. [00:48:41] Speaker A: Ben on lui donnerait le pop-corn du pouvoir. Ensuite, le pop-corn de l'homme, respect du matériel source, moi je lui donnerais. [00:48:48] Speaker B: Tu lui donnes? Ah ouais! [00:48:49] Speaker A: Je lui donnerais parce que c'est adapté directement de l'histoire d'un comique. Pis t'sais, même s'il y a des petits changements, ça reste assez fidèle au comique. [00:49:01] Speaker B: Es-tu le premier qui l'a, le comique accuracy? Je me souviens plus, faudrait... Au complet? Non! Parce que tu l'avais pas donné à Spider-Man, c'est la cause qu'il était pas assez intelligent. [00:49:09] Speaker A: Ouais, je trouvais pas ça intelligent. Mais non, c'est pas le premier. Il y en avait un autre qui l'avait. [00:49:13] Speaker B: « Howard the Duck ». Honnêtement, je pense que c'était « Howard the Duck ». [00:49:16] Speaker A: Oui, oui, oui. Je suis pas mal sûr. Je suis pas mal sûr. Je sais pas s'il y en avait un autre. Sinon, c'est des demi. [00:49:20] Speaker B: Ouais, ouais, ouais. [00:49:21] Speaker A: Fait que oui, non. Il y a le comic accuracy. S'il est adapté directement d'un comic, ça fait du sens. Ouais. Non. Ça se peut. T'sais, y'a pas eu le facteur... les mêmes facteurs religieux de motivation derrière, mais à part ça, ça se passe. Par contre de l'esprit, est-ce que c'était un bon film? Est-ce que t'as eu du fun? Est-ce que c'était un bon scénario? [00:49:44] Speaker B: Moi j'ai eu du fun, mais encore une fois c'est dur de me détacher de l'enfant en moi qui l'a vu je sais pas combien de fois quand il était jeune. Moi j'ai encore du fun, un peu moins. Tu sais, je dois l'admettre, un petit peu moins que j'aurais cru. Mais, tu sais, c'est ça, moi je trouve que c'est un film complet, honnêtement. Tu sais, qui coche toutes les bonnes cases, pis qui a pas trop de défauts. Fait que, moi j'y donnerais, mais je. [00:50:09] Speaker A: Sais pas toi... Moi au niveau, j'ai de la misère avec certains facteurs du film, j'ai de la misère avec... avec justement la structure narrative du film qui est un petit peu n'importe quoi. Je me sens sévère, c'est pas non plus... C'est pas non plus quelque chose de terrible, ça a bien fonctionné, mais... Je dirais pas que c'est ce qui compte pour un bon scénario. Ouais, ouais. Mais même si... T'sais, c'est basé, il y a des personnages qui sont vraiment intéressants, pis je pense que le film mise beaucoup là-dessus, pis c'est bien. Au niveau de la structure des événements qui se passent, j'ai vraiment de la misère à me déconnecter du fait que c'est un peu palmaire. [00:50:52] Speaker B: Ouais. [00:50:52] Speaker A: Que... [00:50:54] Speaker B: C'est vrai. [00:50:55] Speaker A: Mais, en même temps, Tu peux garder ton opinion. [00:50:58] Speaker B: On peut en mettre un demi aussi. [00:51:00] Speaker A: Non mais en même temps, j'en donnerais un au complet parce que c'était quand même très le fun à regarder. Puis une grosse partie de ce popcorn-là, c'est le fun. C'est ça. Mais au niveau d'un bon scénario, c'est un scénario correct, acceptable, qui a marché, qui est un succès. Donc oui, il va y avoir le popcorn de l'esprit. [00:51:21] Speaker B: C'était convaincu toi. [00:51:22] Speaker A: Non, non, mais je pense qu'il le mérite, mais... Sous réserve. [00:51:25] Speaker B: On met un astérisque à côté. [00:51:27] Speaker A: Exact. Mais il l'a plus qu'il l'a pas. Ouais. Un trois-quarts de popcorn. [00:51:33] Speaker B: Ouais, c'est ça, mais on peut pas s'embarquer dans du visuel. [00:51:36] Speaker A: Non, non, non. Au niveau du temps, est-ce que c'est un film intemporel? Est-ce qu'on va en garder un souvenir? [00:51:42] Speaker B: Ben, intemporel, je sais pas. Ils sont tous bien vieillis. Puis, il y a l'image que je me fais d'un bon film de super-héros. Est-ce qu'il est mémorable? Pas nécessairement. [00:51:54] Speaker A: Dans toutes les X-Men, est-ce que ça va être le film que tu vas te rappeler le plus? [00:51:58] Speaker B: Ben, tu sais, je pense que dans toutes les X-Men, il va peut-être être mon deuxième favori. [00:52:03] Speaker A: Ok, quand même. [00:52:04] Speaker B: Mais est-ce que, tu sais, mettons, Days of Future Past m'est plus resté en. [00:52:08] Speaker A: Tête... Ah oui, ben moi aussi. [00:52:09] Speaker B: ... que celui-là. Mais... c'est ça. Je dirais peut-être pour un demi, parce que c'est ça, il est comme vraiment le fun, mais pas si mémorable, effectivement. [00:52:20] Speaker A: Ben, moi, j'en donnerais un demi aussi, parce que ça reste... ça reste que quand je pense... Moi, personnellement, quand je pense à films de super-héros, c'est pas le premier qui me vient en tête. C'est même dans les derniers qui me vient en tête. Ah ouais? [00:52:33] Speaker B: Moi, quand même pas. Pas pour moi. [00:52:35] Speaker A: Perso, parce que... bien, pas dans les derniers. Il y a Howard The Duck qui arrive en dernier, clairement. Mais... quand je pense à super-héros, c'est pas quelque chose qui m'est resté dans la tête. Même si je l'ai regardé quand j'avais 8 ans, normalement... Par comparaison, j'ai regardé Spider-Man à 8 ans, puis je m'en rappelle très bien. [00:52:53] Speaker B: Mais c'est ça, je pense qu'avec un demi-popcorn, c'est raisonnable. Donc voilà, ça a fait quand même une belle récolte, somme toute. Le prochain épisode, c'est Spider-Man 2. Donc on continue avec nos suites, puis une grosse année 2003. Ah non, ça c'est peut-être 2004 en fait. C'est ça, donc merci d'avoir été à l'écoute de ce septième épisode du Popcorn de l'Infini sur X-Men 2. On se retrouve dans deux semaines en fait pour un autre épisode. Merci et bon visionnement. Si vous les suivez avec nous, bon visionnement.

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