Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Le balado que tu t'apprêtes à écouter, tu peux pas l'entendre ailleurs. C'est une exclusivité.
[00:00:32] Speaker B: Bonjour à tous et à toutes, bienvenue à l'épisode 14 déjà du Popcorn de l'Infini. J'ai toujours avec moi David. Comment ça va David?
[00:00:41] Speaker A: Ça va super bien.
[00:00:42] Speaker B: T'es content de parler de Fantastic Four 2 aujourd'hui?
[00:00:45] Speaker A: Ben c'est-tu Fantastic Four 2 ou c'est... Wow!
[00:00:48] Speaker B: Callsuit Party, Fantastic Four, Rise of the Silver Surfer. Probablement qu'on n'a pas mis 2 parce qu'il y avait déjà 4 dans le titre, ça a été mélangeant.
[00:00:56] Speaker A: Ben oui, c'est exactement pour ça.
[00:00:58] Speaker B: Donc qui clôt aussi ce chapitre là des Fantastic Four malgré un reboot en 2015 qui va pas pogner et la version de 2025 qui à ce jour n'est pas sorti au moment où on enregistre le podcast.
[00:01:11] Speaker A: Mais je vais être content quand ça va sortir parce que ça va être le quatrième film des Fantastic Four.
[00:01:14] Speaker B: Ouais, c'est ça. Four, en tout cas, j'essaie de penser à un titre comme Fast and Furious, mais avec Four, Fantastic Four.
[00:01:23] Speaker A: Non, mais tu repenses à Un en Quatre, mais ils ont déjà fait ça.
[00:01:25] Speaker B: Ouais, c'est ça. Ça devient compliqué. Mais oui, donc, c'est ça, le film, l'épisode joue en ce moment. Ça fait peu plus qu'un mois, je crois, que Fantastic Four, le nouveau, est sorti. Donc, mais on ne l'a pas vu parce qu'il n'est pas encore sorti au moment d'enregistrer. Donc, on reprend essentiellement où on a laissé dans le premier opus de 2005. C'est la même personne à la réalisation de Team Story, c'est les mêmes acteurs et actrices qui reviennent. On en ajoute quand même parce qu'on dirait qu'on n'a pas... ben, ils ne pouvaient pas vraiment tirer des leçons de Spider-Man 3 parce que les deux sont sortis à quelques mois d'intervalle. Le fait d'amener plusieurs vilains dans une histoire, ça fait pas que c'est meilleur ou plus badass.
[00:02:09] Speaker A: C'était l'année de mettre plusieurs vilains dans une histoire.
[00:02:12] Speaker B: Ouais. Je sais pas pour Ghost Rider qui est aussi sorti cette année-là.
[00:02:14] Speaker A: Alors Défense, c'est Comic Accurate. Alors Défense, c'est Comic Accurate.
[00:02:19] Speaker B: Ouais, mais en tout cas, c'est ça. Il y a des affaires qui sont Comic Accurate qui ne devraient pas l'être des fois.
[00:02:24] Speaker A: Les comics c'est fait pour être chaotique.
[00:02:27] Speaker B: Ouais, ouais, c'est ça. Donc, c'est ça, comme je le mentionne, ça suit pas mal les événements du premier. Mais là, ça commence avec Silver Surfer qui est quand même un personnage assez important dans Marvel. Il a sa propre storyline. Je sais que j'ai des comics chez moi de Silver Surfer.
[00:02:42] Speaker A: Non, non, c'est un personnage à lui seul.
[00:02:44] Speaker B: Ouais, il est aussi même relativement entré dans la pop culture. Je me souviens, il y a un guitariste, je pense que c'est Joe Satriani ou Tom Morello, je ne sais plus trop, mais il y a un guitariste quand même connu qui a, sur sa guitare, un Silver Surfer, puis à cause de ça, la guitare a été renommée Silver Surfer. Bref, c'est ça, c'est quand même un objet culturel. Là, le film s'amorce en fait avec ce personnage-là qui, on comprend, vient de... en tout cas. qui est une planète qui vient de se faire détruire pour arriver sur Terre. Et là, on comprend qu'il prépare le terrain à ce que la Terre soit elle-même détruite. On apprend un peu plus tard par qui elle sera absorbée ou mangée, peu importe, ce sera détruite. Ce sera par Galactus, donc on y reviendra un peu plus tard. En parallèle, les Fantastic Four sont maintenant connus au grand jour. Sue et Reed Richards sont sur le point de se marier, alors que les deux autres ne font à peu près rien.
Et puis, juste à temps justement que ces perturbations-là, dues à l'arrivée de Silver Surfer, qui creusent des trous mystérieusement un peu partout sur la Terre, dans le Nord, il y en fait un peu plusieurs à Londres.
[00:03:55] Speaker A: Je pense qu'il fait des trous pour que Galactus puisse absorber comme il faut les nutriments de la Terre, je ne sais pas trop.
[00:04:01] Speaker B: Probablement quelque chose comme ça. Donc c'est à cause des perturbations électroniques, en tout cas. Puis là, ils finissent par investiguer un petit peu là-dessus. Et bien, en parallèle, ils finissent finalement par croiser leur chemin et puis il y a un combat entre... Fire... Johnny Storm, pardon. Fire. Johnny Storm et Silver Surfer. Puis qui va altérer un peu, soit les pouvoirs de Johnny ou en tout cas sa capacité d'absorption, tant qu'à être dans le sujet. Là, il va être capable, en touchant les autres 4 Fantastiques, d'absorber ou de posséder, mais d'échanger au départ, je crois.
[00:04:41] Speaker A: D'échanger leurs pouvoirs, oui, mais il l'absorbe, ça ne l'avait pas expliqué.
[00:04:44] Speaker B: Donc c'est ça, on suit tout ça.
Pas en parallèle, mais à un certain moment, il y a le fameux Docteur Doom qui revient, qui était le vilain du premier film. D'ailleurs, au moment d'enregistrer ça, l'acteur qui jouait Docteur Doom est décédé, ça fait quelques jours, quelques semaines, je ne sais plus exactement. Julian McMahon, mort jeune du cancer à 56 ans malheureusement. Mais donc lui aussi il revient et se met dans la tête l'idée de voler la planche du Silver Surfer parce qu'on déduit que les pouvoirs lui viennent de cette planche-là. Donc lui évidemment veut posséder les pouvoirs et puis les 4 Fantastiques veulent empêcher le Silver Surfer.
[00:05:27] Speaker A: Le pouvoir de Silver Surfer aussi c'est le pouvoir cosmique que ça s'appelle et il n'y a rien qui l'égale sur la Terre canoniquement. C'est vraiment un très gros pouvoir. Quand on est loin du vibranium ou des choses comme ça, dans l'univers Marvel, c'est un pouvoir de dieu, carrément.
[00:05:43] Speaker B: Il y a un acteur qui interprète, évidemment, le Silver Surfer. On comprend qu'il est surtout en CGI aussi. Mais la voix est prêtée par Laurence Fishburne, qu'on connaît comme étant Morpheus dans les Matrix. Une voix très, très grave, très, très austère aussi, que j'ai quand même bien aimée. Mais c'est ça. Sinon, il n'y a pas peu d'additions et même des disparitions. Tu mentionnais le personnage d'Ordonde.
[00:06:07] Speaker A: Alicia Masters, qui est là, mais elle n'est pas dans l'espace qu'elle aurait dû prendre, mettons.
[00:06:14] Speaker B: Non, non, non, c'est ça, exactement. Puis Galactus, on ne le voit à peu près jamais, donc ce n'est pas un personnage en soi. Sinon, il y a très peu d'additions.
entre guillemets, de l'armée qui joue par André Brouwer, qui est en charge un peu d'essayer de comprendre ce qui se passe.
[00:06:33] Speaker A: C'est un acteur que je ne peux plus jamais prendre au sérieux.
[00:06:35] Speaker B: C'est ça, moi aussi, c'était un de mes points, parce qu'évidemment, son rôle le plus connu, c'est celui du Captain Holt dans Brooklyn Nine-Nine, qui est un peu similaire à son rôle-là, mais sans l'aspect comique.
[00:06:49] Speaker A: Oui, c'est ça.
[00:06:49] Speaker B: C'est le fait qu'il ait la même.
[00:06:51] Speaker A: Attitude, mais que ce n'est pas une joke cette fois-ci.
[00:06:54] Speaker B: Mais c'est ça, moi aussi c'est vraiment très dur de s'en détacher malheureusement. À la sortie du film, il jouait pas encore dans Brooklyn Nine-Nine. Et puis l'acteur aussi est mort malheureusement. Ça va pas bien pour cette gang-là. Donc voilà.
Très peu de choses à dire, si ce n'est qu'on avait quand même, je crois, bon espoir en ce film-là. Il a donné 130 millions de budget, ce qui est quand même faramineux. Puis honnêtement, ça paraît à l'écran. Il y a plusieurs défauts dans ce film-là, mais les effets spéciaux n'en sont pas un. Ce qui était le cas également pour le premier film, c'est que les effets spéciaux étaient très bien réalisés.
[00:07:34] Speaker A: Tu vois, on disait l'épisode dernier que ça aurait été peut-être moins possible de faire, mettons, un costume noir de Spider-Man qui est plus noir et plus moi aussi. Pis là je regarde Silver Surfer, ben aussi moi avec certaines réflexions un peu plus viscues, mettons. Pis je regarde Silver Surfer pis je suis comme, peut-être que c'était possible finalement. mais il y aurait peut-être eu moins de scènes de nuit. Mais en tout cas, c'est tout ce que je dis pour te dire que le CGI de ce film-là, je le trouvais nettement supérieur à certains autres films comparables.
[00:08:04] Speaker B: Non, non, effectivement, puis je l'avais dit encore une fois pour le premier, puis je l'aurais dit pour celui-là, ça feel vraiment comme un film du MCU. Tant au niveau du dosage entre l'action et l'humour, tant au niveau des choix artistiques qui sont faits, c'est-à-dire des choix très légers, on s'entend, mais au niveau visuel, ça ressemble à un film du MCU, alors que, mettons Daredevil, il y a des choix artistiques qui ont été faits puis qu'on s'en détache complètement.
[00:08:34] Speaker A: Les costumes sont aussi beaucoup plus communs qu'à Crewet, si je peux me permettre. C'est pas mal mieux que le premier. Où est-ce que... Le logo dans le coin, je l'ai jamais adopté. J'ai jamais été sûr de ça.
[00:08:46] Speaker B: Non, c'est ça. Mais c'est pas un film qui est exempt de défauts, on va en parler évidemment, mais c'est... En tout cas, le film va quand même, je ne sais pas si je l'ai mentionné, mais il va quand même amasser 300 millions au box-office, ce qui est pratiquement trois fois son budget. Habituellement, c'est ce barème-là pour savoir si un film est rentable ou pas. Donc, moi, ce qui me surprend surtout, c'est que c'est un film très court. 92 minutes, là. C'est dans les plus courts films de super-héros qu'on a vus jusqu'à présent, évidemment, mais même du MCU, il n'y en a pas beaucoup. Je pense qu'il y a le premier Thor.
[00:09:23] Speaker A: Ça me surprend que tu me dises ça parce que dans ma tête, il était vraiment long.
[00:09:25] Speaker B: C'est ça, c'est un défaut du film, il est mal rythmé et ultimement juste un peu plate. C'est dommage, mais c'est juste... En tout cas, c'est un film un peu plus international aussi. On se promène un peu partout sur Terre là-bas, on passe un petit peu au Japon, mais bon, ils sont à Londres, ils sont dans le Nord, en tout cas, je sais pas trop, dans la neige, New York, bref, c'est un film... à plus grand déploiement, mettons, un film un peu plus ambitieux. Mais malgré tout, c'est qu'on ne sait pas quoi faire avec cette ambition-là. C'est juste ça. Il y a vraiment au niveau du scénario que le Bob laisse. Donc voilà. Au retour de la pause, tu nous présentes le film, les comics duquels le film s'est inspiré. Et puis, on vous mentionne encore nos insatisfactions peut-être envers le film tout de suite après la pause.
Vous êtes de retour au popcorn de l'infini. On s'intéresse aujourd'hui à Fantastic Four Rise of the Silver Surfer, film de 2007. David, tu voulais... Oui, j'ai quelque chose.
[00:10:34] Speaker A: À te mentionner avant qu'on embarque dans les comiques liées à ce film-là, parce qu'il y a un des personnages que j'aurais pu mentionner au dernier épisode de Fantastic Four, mais que je veux te mentionner là. Il y a un des quatre fantastiques qui a été le premier super-héros Marvel. Donc le premier super-héros jamais créé par Marvel. Et exactement l'année 1939, c'est le premier issue de comique Marvel jamais faite. Puis ça c'est un des quatre fantastiques. Peux-tu deviner lequel?
[00:11:04] Speaker B: 1939, quiconque pourrait bien vouloir. Ça doit être quelque chose de champ gauche, comme The Thing. Probablement The Thing, vu que c'est assez générique.
[00:11:14] Speaker A: Non, c'est La Torche Humaine.
[00:11:16] Speaker B: Ah ouais?
[00:11:16] Speaker A: Donc c'est La Torche Humaine qui a été créée par Carl Burgos. Puis c'était... c'était pas Johnny Storm dans ce temps-là. C'était Jim Hammond, qui était un androïde, créé par un professeur. C'était un robot. C'était un humain synthétique avec des organes humains et une peau synthétique. Après son exposition de l'oxygène, il se transforme en flamme. Ça a été terrifiant pour le public.
[00:11:46] Speaker B: En 1939, ça c'était terrifiant. C'était la pire affaire qui était terrifiante en 1939.
[00:11:52] Speaker A: C'est ça, exact. C'était le plus terrifiant que tout. La pyrokinésie, donc c'est qu'elle s'engolfait de flammes. Le vol aussi, par les... Le vol, là. Puis une durabilité surhumaine. Donc ça ressemble pas mal à notre... Johnny Storm. À notre Johnny Storm. Puis dans ces comiques-là aussi, c'était en 1939, on peut se douter. C'était un super-héros de la deuxième gamme mondiale, puis il s'est battu aux côtés de Captain America et de Namor. Donc voilà, mais c'est pas le même personnage que notre Torch Human moderne. C'était juste pour mentionner que la Torch Human, c'est le premier super-héros de Marvel, créé par Marvel dans l'histoire. Puis voilà. C'était tout, c'était tout. C'était un fun fact intéressant qu'il fallait que je mentionne parce que là ça va prendre un petit bout avant qu'on reparle des Cartes fantastiques. Surtout que lui de 2015, il n'est pas canon. Parlant de La Torche Humaine, Je vais commencer par les comiques. Qu'est-ce qui a inspiré ce film-là? Oui, ça a été inspiré par des comiques, puis deux séries en particulier. Ça a été deux trilogies, en fait, dans les quatre fantastiques. Tout en 1966. Entre 1966 et 1967, en fait. C'est du numéro 48 à 50. Ça, c'est la trilogie où est-ce qu'il y a le Silver Surfer qui arrive, il cause des disruptions, puis finalement, il dit que Galactus arrive. Une des différences notables de cette trilogie-là avec le film, c'est la connexion que Silver Surfer avec Susan Storm ne se passait pas comme ça dans les comiques. En fait, Silver Surfer rencontre Alicia Masters, qui est la conjointe de Ben Grimm dans les comiques puis dans les films.
[00:13:39] Speaker B: De la chose.
[00:13:39] Speaker A: De la chose. Puis, il tombe par hasard chez elle, puis c'est elle qui lui fait changer d'avis sur l'humanité.
Ça aurait été une occasion de déployer le personnage de Alicia Masters qui n'a pas été exploité dans ce film-là du tout. Mais bon, c'est pour moi ça la trilogie. Je vais parler plus tard des différences de personnages, mais il y a quelque chose de vraiment fâchant avec Galactus que je vais vous expliquer tantôt. Fait que ça c'est la première trilogie. Puis il y a une deuxième trilogie aussi qui est inspirée dans ce film-là, un peu moins. C'est la trilogie des numéros 57 à 60. Donc c'est pas si loin que ça. Mais c'est où est-ce que Silver Surfer revient et Doom vole ses pouvoirs. Donc on a aussi adapté cette trilogie-là. Puis après ça on a adapté certains éléments des comiques de Silver Surfer bien sûr. Mais principalement ça reste des comiques de Fantastic Four qu'on a adaptées. avec Silver Surfer dedans. Donc c'est ça. Sinon, grosse différence aussi entre les comiques et le film, c'est que Johnny n'a jamais aspiré les pouvoirs des trois autres quatre fantastiques. En fait, il a souvent eu des problèmes avec ses pouvoirs parce que c'est une bonne ligne de... un arc narratif que les écrivains aiment prendre. Des problèmes avec ses pouvoirs comme Spider-Man. Tous les super-héros ont des problèmes avec leurs pouvoirs éventuellement, ou presque. Mais il n'y a jamais eu le truc de « je touche quelqu'un d'autre puis on échange nos pouvoirs » ou.
[00:15:02] Speaker B: « j'aspecte les pouvoirs des autres ». C'est ça. Alors que dans le film, c'est présenté vraiment avec la rencontre ou le combat entre Silver Surfer et Johnny où là il touche puis il donne une partie de ses pouvoirs ou en tout cas.
[00:15:14] Speaker A: Il modifie son… En tout cas, ça fait un certain sens, si je peux me permettre, parce que c'est du pouvoir cosmique et les pouvoirs de Johnny Storm viennent des rayons cosmiques. Donc, il y a un certain sens qui peut se faire.
[00:15:32] Speaker B: Mon hypothèse, c'est vraiment qu'ils ont trouvé que Chris Evans c'était le plus intéressant ou le meilleur acteur des quatre. Puis en fait, on va lui donner plus de screen time.
[00:15:41] Speaker A: Parce que c'est lui qui fait tout. Puis aussi, tu sais, là après ça, ça résume pas mal quels comics sont inspirés. Je vais faire le tour des personnages aussi. Je vais commencer justement par Human Torch, qui est joué par Chris Evans. C'est le personnage le plus commun qui a quitté la gang, malgré son pouvoir qui change. Mais, t'sais, son Flame On, puis son... C'est assez... Tout... Il a la même personnalité, pas mal. Surtout dans ce film-là aussi, pas mal plus. Puis, c'est quand même, t'sais, c'est quand même le personnage le plus comique à couvert de la gang. Après ça, tout de suite après, il y a M. Fantastique qui est dans ses pouvoirs, il est 100% accueillant, son intellect aussi c'est accueillant. Par contre, son côté gênant, Dans le film, il a été amplifié.
[00:16:35] Speaker B: Il dégage un peu plus de confiance dans les comics.
[00:16:38] Speaker A: Exact. Parce que c'est l'homme le plus intelligent de la planète quand même. Mais il est pas mal plus autoritaire dans les comics. Il a confiance en lui. Dans le film, c'est juste un peu awkward. Dans les comics aussi, c'est un leader. ce qu'on n'a pas vu dans le film, qu'on a plus vu de la torche humaine. Mais c'est ça, le film va vraiment écraser son leadership, contrairement aux comiques. La chose, Ben Grimm, excuse-moi, lui, il est plus acouette que M. Fantastique, je dirais. Il est en deuxième position.
[00:17:16] Speaker B: Parce qu'il est assez basic comme personnage.
[00:17:17] Speaker A: Oui, mais il est assez... Non, mais c'est parce que... OK. La seule grosse différence, c'est que dans les comiques, il est plus gros. On comprend que c'est un costume.
[00:17:29] Speaker B: On aurait pris l'approche du premier film qui voulait moins de CGI au niveau du costume.
[00:17:35] Speaker A: Mais pas pour Silver Surfer.
[00:17:37] Speaker B: Non, c'est ça. Ça aurait été tough de faire de quoi d'aussi... aussi performant que le CGI, mais apparemment qu'on a amené des modifications aussi à son costume parce que l'acteur c'était plein dans le premier film, des longues journées de tournage puis que c'était chaud puis tout. J'aime beaucoup plus cette approche-là que le CGI qui aurait pu avoir, qui peut mal vieillir.
[00:18:07] Speaker A: T'essaies de le faire, catchphrase, it's clobbering time, Will dit, il l'a passé souvent.
[00:18:12] Speaker B: Tu voudrais plus que ça?
[00:18:13] Speaker A: Ben, moi c'est quelque chose que, la chose est là. Mais oui, c'est une des adaptations, des meilleures adaptations dans ce film-là, la chose quand même, c'est assez solide.
[00:18:26] Speaker B: Susan Storm, comme dans le premier aussi, tu disais qu'elle n'était pas très accurate.
[00:18:30] Speaker A: Non, pas vraiment. C'est pouvoir le son. C'est pouvoir le son. À part ça, dans les comiques, elle est pas mal plus sûre d'elle-même. Je ne sais pas qu'est-ce qui se passe avec les films, que les femmes sont toujours moins sûres d'elles-mêmes dans les films que dans les comiques.
[00:18:43] Speaker B: Je vais y revenir tantôt dans le film, mais son personnage est long comme « dumbed down ».
[00:18:49] Speaker A: C'est ça. Dans les comiques, elle est assez indépendante. C'est devenu la « powerhouse » de l'équipe dans les comiques. Dans le film, on ne voit pas ça. C'est un emotional failure dans le film. C'est triste à quel point on réduit ce personnage-là. Ce personnage-là, selon moi, n'est pas comique à couette, ne serait-ce que pour les pouvoirs. Il manque vraiment de quoi.
[00:19:16] Speaker B: C'est vraiment fâche, honnêtement. Je pense qu'il y en a dans l'épisode sur Spider-Man. que j'aimais pas vraiment le traitement qu'on fait à Mary-Jane, mais là, c'est... Je vais la dire là, puis je le répéterai tantôt, mais même au niveau des dialogues, s'il y a plus, je pense qu'elle vient d'échanger... Je pense qu'elle venait peut-être d'échanger ses pouvoirs avec Johnny Storm, mais en tout cas, elle va voir M. Fantastique, puis elle est comme « I'm so hot for you right now ». Puis là, t'es comme... C'est gênant, honnêtement. C'est dommage parce qu'on sait aussi que Jessica Alba, à l'époque aussi, représentait un peu le sex-symbole par définition. Même dans le premier film, on dirait qu'il y avait, sans qu'elle soit une grande scientifique, qu'elle avait quand même un input un peu plus intéressant. Là, elle est comme là pour se marier et être fâchée de ne pas s'être mariée.
[00:20:11] Speaker A: Oui, c'est ça. Ça résume pas mal bien.
[00:20:14] Speaker B: Et changer un peu la perspective de Silver Surfer sur l'humanité.
[00:20:18] Speaker A: Oui, ce qui aurait été le rôle d'Alicia Masters dans Bonne Adaptation. Bon, là on rentre dans les pires adaptations parce qu'il y en a deux qui sont vraiment complètement hors de la track. Doctor Doom, comme dans le premier, mais.
[00:20:34] Speaker B: À la fin du premier, il se fait renvoyer dans ce pays fictif de Latverie.
[00:20:38] Speaker A: Mais ça, c'est quand même quelque chose.
[00:20:39] Speaker B: Mais duquel il est comme empereur ou je sais pas trop quoi.
[00:20:41] Speaker A: C'est le monarche, le roi. C'est la seule monarchie totale dans l'univers Marvel, c'est la Latverie. Mais dans le film, ça reste un businessman jaloux. Même s'il a été envoyé en Latverie. Puis il y a pas de nobilité. Parce que dans les comiques, il y a une certaine nobilité à Doctor Doom. Il est capable d'avoir une conversation avec ses pires ennemis devant lui, puis être quand même relativement fair. Il haït beaucoup les cartes fantastiques, mais mettons, il serait capable d'avoir une conversation avec Spider-Man, par exemple, sans se battre nécessairement avec.
[00:21:18] Speaker B: Ben je vois, moi je suis en train de lire des comics qui n'ont pas tant rapport, je suis en train de lire les Luke Cage. Pis il m'a emmené, c'est Luke Cage Hero for Hire, donc il vend ses services. Pis il m'a emmené Docteur Doom Langage pour détruire des adversaires à New York. Pis là, finalement il paye pas. Pis là dans un autre numéro, Luke Cage prend la voiture des Quatre Fantastiques, il fait son apparition d'ailleurs dans le film, pour aller en Latverie pis se faire payer.
[00:21:47] Speaker A: C'est quelqu'un qui est capable d'avoir une conversation civique avec les gens alors que dans le film c'est juste pas ça. Dans les comics, c'est quelqu'un qui peut... Ça reste un vilain, mais ça reste un vilain parlable, qui accorde beaucoup d'importance à la hiérarchie et aux pouvoirs. C'est d'ailleurs comme ça qu'il va attraper les pouvoirs de Silver Surfer dans les comics, c'est qu'il va l'inviter dans son château, il va lui faire faire le tour...
éventuellement va voler ses pouvoirs. Mais il y a toujours, tu sais, comme Stanley disait, son seul désir c'est de contrôler le monde. Puis ce n'est pas en soi quelque chose, ce que Stanley disait, ce n'est pas en soi une chose illégale de vouloir prendre le contrôle du monde.
[00:22:48] Speaker B: Non, c'est ça. C'est juste qu'on ne veut pas que ce soit lui qui pourrait faire le tour du monde.
[00:22:52] Speaker A: C'est ça, d'avoir du pouvoir et de vouloir avoir du contrôle sur le monde. En fait, c'est ça, pas contrôler le monde, avoir du contrôle sur le monde. En soi, ce n'est pas... C'est juste, c'est ça. On veut pas que ce soit lui qui ait ce contrôle-là, ce pouvoir-là. Après ça, dans les mauvaises adaptations aussi, Galactus, qui est un nuage, c'est complètement hors de la traque. Dans les comiques, c'est un dieu. C'est un dieu, puis il est juste géant. Il est géant, puis c'est un bonhomme mauve avec... En tout cas, allez chercher des Google Images de Galactus.
[00:23:31] Speaker B: Il devrait être dans le prochain Fantastic Four. Je pense qu'ils l'ont montré un peu dans la bande-annonce.
[00:23:38] Speaker A: En fait, je pense qu'ils ont réadapté la saga du Silver Surfer dans Fantastic Four. Donc, je pense que oui, il va être là. Mais c'est ça, c'est un dieu avec une armure mauve.
Mais dans le film, il ne parle pas. Il n'a aucune présence. Il n'a aucune motivation.
[00:23:58] Speaker B: C'est un nuage de gaz.
[00:23:59] Speaker A: Dans les comics, Galactus est une force de la nature, un peu comme le Watcher si vous avez écouté les What If dans la série What If sur Disney+. Un peu comme le Watcher, ça va être une force de la nature qui ne va pas nécessairement vouloir se mêler des affaires humaines. Puis il va voir les humains juste comme des choses. C'est comme s'ils sont sur un autre niveau d'existence. Alors que là, c'est pas une personne. C'est un nuage. Fait que c'est ça. Si vous voulez comme le vrai Galactus, les comics de Fantastic Four numéro 48 à 50, c'est la trilogie que je parlais au début. C'est là qu'on va le voir, le vrai Galactus, puis sa vraie arrivée. Puis il y a un personnage que j'ai oublié. Oui, Silver Surfer, son nom est dans le titre. Lui, oui, il est somme toute bien adapté, il manque des affaires, il manque son origine, sa planète d'origine, tout ça, mais reste que le film était court.
[00:25:02] Speaker B: Puis l'effet que sa planche lui donne pas ses pouvoirs.
[00:25:05] Speaker A: Ouais, c'est ça. L'origine de ses pouvoirs, bon, c'est pas... Normalement, c'est le celvosaufeur lui-même qui est infusé de pouvoirs cosmiques. Sa planche vient avec, là. Mais bon, c'est... Petit, selon moi, comme différence, mais drôle parce qu'il voulait juste, d'après moi, expliquer plus rapidement comment Doom allait voler les pouvoirs. Parce que dans les comiques, Doom, c'est un magicien aussi, ce qu'il n'y a pas dans le film. Dans le troisième film qui n'a jamais eu lieu, peut-être. Oui, peut-être. En fait, Doom, c'est supposé être la personne qui est pile au milieu entre la magie puis la science. Je pense que je l'avais déjà mentionné. Mais il supposait autant magie dans l'univers de Doctor Strange que l'univers des Caps Fantastiques. Mais dans le film, c'est carrément juste...
un businessman. Il n'y avait aucune raison qu'il allait avoir les machines nécessaires pour voler le pouvoir de Silver Surfer. D'après moi, ils ont donné son pouvoir dans une planche. Justement pour ça. C'est une bonne adaptation au niveau de son esprit. Il y a quand même l'esprit du Silver Surfer, mais il manque de la profondeur au personnage parce qu'il n'y a pas son passé. Ce n'est pas développé, mais c'est une personne qui a une certaine nobilité. Mais au niveau de son apparence et de ses pouvoirs, c'est parfait. Il n'y a rien à dire. C'est exactement...
C'est exactement... selon moi son pouvoir c'est pas mal pareil. Fait que ça ressemble pas mal à ça pour mon tour des personnages.
[00:26:32] Speaker B: Ouais, ben on peut commencer à parler peut-être de ce qu'on a aimé ou moins aimé dans ce que c'est du film. Ben, il y a étonnamment...
plus de choses que j'ai aimé dans des films que mettons la note que j'y donnerais. Juste parce que c'est ça au niveau de l'approche, c'est une approche quand même assez grand public, une approche aussi qui est légitime.
C'est dur à dire, autant c'est une suite, mais là on tombe peut-être un peu plus dans l'épisodique plutôt que l'arc narratif sur deux ou trois films, ou peu importe, combien il y en aurait eu au final. Là, j'ai vraiment l'impression de voir la même gang, mais dans une nouvelle aventure. Bon, il y a la question du mariage, puis tu avais mentionné que dans les comics, ils sont même déjà mariés, ou en tout cas, ils sont mariés quand même assez tôt dans l'existence.
[00:27:27] Speaker A: Je ne sais pas si à ce moment-là ils sont mariés, mais probablement.
[00:27:30] Speaker B: Ça arrive quand même assez rapidement. Là, on y arrive lentement mais sûrement. Mais ultimement, c'est moins intéressant peut-être leur relation dans ce film-là. Moi, c'est vraiment... On a pris des... En tout cas, c'est un film un peu con. C'est dommage, je vais le dire comme ça. Ne serait-ce que pour le traitement de Susan Storm, de Sue Storm qui est complètement débile. Mais même au niveau de Jessica Alba, je pense qu'on a fait de quoi à ses yeux. Il me semble que ses yeux étaient bleus. Je sais qu'elle a probablement les yeux bleus, mais là c'était comme bleu foncé, foncé. Puis je n'ai pas trouvé de l'information sur est-ce qu'on lui a foncé les yeux. En tout cas, c'est peut-être la copie que j'avais. Je ne sais pas. Ce n'est pas un film gravé.
[00:28:16] Speaker A: Je n'ai pas remarqué.
[00:28:17] Speaker B: Moi, ça m'a sorti du film complètement. J'ai fait « ah oui, ils ont vraiment changé ses yeux ». Mais finalement, je ne trouve pas l'information nulle part. Mais en tout cas, c'est le genre de film que, vu qu'il n'est pas assez intéressant, on dirait que je finis par sortir du film, puis là à comme over-analyser ce qui se passe. Faire comme, ça ne se peut pas ça que ça se passe de même. Je pense à la scène de danse où il porte son vrai linge, mais que là, il fait des moves de stress. Je suis comme, ah ouais, ok. Il y a aussi des chemises blanches qui se stretchent selon son corps.
[00:28:50] Speaker A: Ouais, non, c'est supposé être les molécules instables.
[00:28:52] Speaker B: Ouais, ben t'sais pour les costumes des 4 Fantastiques, ça va, mais y'a-tu une garde-robe complète là-dessus?
[00:28:57] Speaker A: Ah, peut-être, peut-être. C'est probablement de la même garde-robe que les pantalons de Hulk.
[00:29:02] Speaker B: Ouais, ouais, c'est ça.
[00:29:03] Speaker A: Mais, pour répondre à ta question, ils ont été mariés en 1965, donc oui, ils étaient déjà mariés quand la trilogie des comiques est arrivée. Le mariage n'avait rien à voir avec Galactus, nécessairement.
[00:29:15] Speaker B: Sinon, tu l'as mentionné aussi, au niveau des incongruités, à part le fait qu'on fait juste penser au Capitaine Holt à chaque fois qu'on voit Andrew Brower, mais tu sais, j'étais comme un moment donné, il débarque à Londres, l'armée américaine. Peux-tu faire ça, l'armée américaine? Juste débarquer dans un autre pays pis comme...
[00:29:34] Speaker A: C'est pas mentionné s'ils ont été cherchés, mais s'ils ont les autorisations nécessaires.
[00:29:38] Speaker B: Non, c'est ça. Mais t'sais, c'est ça là, t'sais, à un moment donné, je deviens dans ma... En tout cas, je rentre dans ma tête pis là je me mets à comme faire... Ah non, il y a bien des affaires que c'est des raccourcis scénaristiques pis c'est pas un bon signe. Habituellement, ça veut dire que ton scénario est un peu faible ou en tout cas que tu forces un peu les choses, la succession d'événements. Ce que j'ai quand même bien aimé, c'est aussi le fait que ce soit plus international aussi, qu'on s'en tienne pas juste à New York, qu'on a exploré quand même beaucoup dans les comics, que ce soit avec les Spider-Man, que ce soit avec Daredevil, que ce soit avec... Il y en a un autre qui me vient pas à la tête, mais bon. C'est une ville qu'on commence à connaître en termes de Spider-Man.
[00:30:16] Speaker A: Il faut se rappeler que les bureaux de Marvel Comics, ils étaient à New York aussi.
[00:30:19] Speaker B: Ça n'était pas mal. Non, non, non, c'est sûr, mais t'sais, c'est soit New York ou l'espace. Il n'y a pas d'entre deux. Il y a Wakanda, mais bon, ça reste très centré à New York. J'aimais le fait qu'on sorte un petit peu plus. On a un caméo de Stanley, qui joue Stanley. Pourquoi pas? Il se fait refuser l'entrée au mariage, je pense, ou à un party quelconque.
[00:30:45] Speaker A: Oui, et si je ne me trompe pas, il disait qu'il avait créé les personnages.
[00:30:50] Speaker B: Oui, c'est ça. C'est une belle joke.
[00:30:53] Speaker A: C'est un bon caméo, je pense. En termes de caméo, c'est très bon.
[00:30:57] Speaker B: Ouais. Pis t'sais, moi, je l'ai quand même... au niveau des choses que j'ai appréciées, j'ai quand même aimé, même si ça n'existe pas, ce merge de pouvoirs-là. Je trouvais que ça amenait une twist différente, mais qui est clairement moins intéressante pour les trois autres personnages.
[00:31:12] Speaker A: Moi, je pense que dans ce film-là, c'est ça, je trouve qu'il s'est rien passé pour trois personnages.
[00:31:18] Speaker B: Ouais. Non, c'est...
[00:31:20] Speaker A: Il s'est absolument rien passé, je pense. En fait, je pense que tout court, il s'est rien passé.
[00:31:24] Speaker B: Ouais ben c'est ça, c'est vraiment le problème. En plus que ton film il est court, il est supposé se passer bien des affaires pis finalement c'est juste du monde qui parle pis qui se promène un peu partout.
[00:31:33] Speaker A: Pour un film avec trois vilains, j'ai pas vu l'action.
[00:31:37] Speaker B: Peut-être que l'effet qu'un vilain c'est un nuage, c'est sûr que ça aide pas.
[00:31:39] Speaker A: Ouais non, il y en a des vilains que c'est un nuage, il y en a un autre que c'est le vilain de l'autre film, pis il y en a un autre que c'est pas vraiment vilain. Fait que ça fait pas mal le tour.
[00:31:47] Speaker B: Mais j'ai vraiment aimé la modélisation du Silver Surfer. C'est un personnage que j'aurais eu le goût d'approfondir, soit avec un stand-alone, parce qu'il était peut-être posé à avoir un film du Silver Surfer, si ce n'était pas un Fantastic Four 3. Il y avait quand même des projets de grandeur avec cette franchise-là.
Ici, la plupart des acteurs avaient signé pour trois films finalement, ça ne s'est pas donné. Puis dans le troisième, Alicia Masters. Pas encore. Ouais, pas encore.
Il est rendu tard un peu là, à moins qu'on veut que... comment il s'appelle? Ben en tout cas, l'acteur qui joue Monsieur Fantastique, qui a eu genre 65 ans là, il est rendu vieux un peu. Mais Alicia Masters dans le troisième film aurait eu un plus grand rôle, donc c'est peut-être pour ça que dans le deux on l'a comme mis un peu de côté.
[00:32:40] Speaker A: Mais une chance qu'on l'a mis de côté parce que sinon Susan Storm dans cet FM-là elle servait à rien.
[00:32:44] Speaker B: Ah non, non, non, ça servait vraiment à rien.
[00:32:46] Speaker A: C'est à quelque part, là.
[00:32:47] Speaker B: C'est ça. Puis on voulait explorer soit les Inhumans, soit les Skrulls, que finalement on a fini par explorer ailleurs, Puppet Master, qui est le père d'Alicia Masters, Annihilus et la Negative Zone.
[00:33:03] Speaker A: Negative Zone, ça, oui.
[00:33:05] Speaker B: On avait quand même, il y avait même l'idée d'introduire Black Panther dans le troisième film, mais c'est ça, finalement. C'est pas arrivé. Non, c'est ça, c'est pas arrivé.
[00:33:13] Speaker A: Mais pourquoi c'est pas arrivé?
[00:33:15] Speaker B: Ben, je pense que c'est un concours de circonstances parce que, tu sais, j'avais parlé dans le premier épisode que c'était des droits vraiment particuliers de Fantastic Four. C'était une compagnie allemande qui possédait les droits et puis qui devait faire des films, sinon ils perdaient les droits. Ce qu'ils font, c'est qu'ils ont fait un film qui est jamais sorti en 1994.
pour juste garder les droits, pis là ben, ça faisait 10 ans, je pense que c'est 12 ans les droits, fait qu'11 ans après le film perdu, ils ont fait donc Fantastic Four, fait que c'est une coproduction comme américaine, allemande, pis je pense même un troisième pays. Puis probablement qu'après le succès moyen on va dire, il était presque rentable je dirais ce film là. Mais en 2008 après ça c'est le début du MCU pis là je pense qu'il y a comme un regain peut-être. soit de la qualité, mettons, des films de super-héros, ou soit comme la compétition devenait vraiment un peu plus féroce, puis, t'sais, Sony, c'est une grosse machine qui est capable de backer des franchises, qui paye des gros droits d'auteur et tout, ils voulaient pas perdre Spider-Man, donc ils ont continué à faire des films, même s'ils étaient moins bons, mais même les moins bons Spider-Man, je pense, sont meilleurs que les Fantastic Four. Je pense vraiment que c'est une question de On ne veut pas perdre les droits et on va faire des films, ce qui explique pourquoi en 2015 il y a eu un autre film, donc 9 ans après celui-là, 8 ans après celui-là. Puis après ça finalement les droits sont revenus à Marvel qui a juste racheté parce que là ça n'avait plus de bon sens. Mais c'est ça, donc je pense qu'il n'y a pas eu de trois parce que là, l'Allemagne, oui c'est un pays de cinéma, mais 130 millions ça reste un budget considérable. Il faut que le public, il faut vraiment que ce soit un succès relativement monstre pour aller de l'avant. Puis d'autant plus que là on est en 2007, en 2009 peut-être? on annonce que Chris Evans va être... 2009 ou 2010, on annonce que Chris Evans va être Capitaine América. Ça commence à jouer dans les plates-bandes un peu. C'est probablement une succession d'événements, peut-être un petit retard dans la production qui a fait que Chris Evans a lâché le projet. En tout cas, c'est ça. Mais il n'y a pas de raison officielle. Ils n'ont pas dit non, on n'en fait pas. Ils ont juste laissé ça un peu mourir. Ils étaient comme peut-être qu'on va en faire un autre. Mais finalement, avec le reboot, je ne penserais pas. Mais c'est ça, on l'a pas mentionné non plus mais le film est canon à cause de Chris Evans qui revient dans Deadpool et Wolverine mais en tant que Johnny Storm. Mais c'est ça, donc, pour revenir à mon appréciation du film, c'est ça, il se passe pas grand chose, pis ce qui se passe, c'est plate.
[00:35:58] Speaker A: Mais je comprends finalement, après avoir écouté ce film-là, je comprends finalement pourquoi c'est Johnny Storm qui revient pis pas les autres.
[00:36:05] Speaker B: Ouais, ouais, ouais.
[00:36:06] Speaker A: Je peux comprendre. Parce que normalement, étant fan de comics, j'aurais peut-être pas mis Johnny Storm, mais ayant écouté le film, surtout celui-là, je peux comprendre.
[00:36:14] Speaker B: Ouais. Pis t'sais, c'est vraiment... Y'a pas beaucoup de star power non plus dans ce film-là. T'sais, t'as un acteur qui est littéralement en dessous d'un costume. L'acteur principal, M. Fantastique, c'est un acteur britannique à peu près pas connu. Y'avait Jessica Alba qui, je m'en souviens malheureusement, son casting c'était probablement d'être la pitoune du film. Pis Chris Evans qui était clairement le meilleur et donc qu'on a recyclé dans une meilleure franchise. Fait que c'est ça, y'a pas beaucoup, même le vilain, y'a personne de vraiment connu. Pis c'est dommage, mais à Hollywood, soit pour sécuriser un studio, c'est ce que ça prend, quand tu veux fronter 130 millions avec des acteurs pas connus, t'sais, t'es mieux d'être sûr en maudit que tu tiens quelque chose de bon. Même le réalisateur, Tim Story, pas une grosse fiche de route, surtout dans de la comédie, t'sais, c'est ça. Ça prend une recette gagnante. Ça prend un Robert Downey Jr. au moins pour avancer un projet et espérer que le film soit bon.
[00:37:13] Speaker A: Moi, je le call. Le prochain, 4 Fantastiques. Mais pas lui. L'autre, à vrai. Robert Downey Jr. fait les quatre personnages.
[00:37:21] Speaker B: Ben ils sont quasiment rendus là s'ils veulent qu'on retourne voir leur film, le Marvel. Mais c'est ça t'sais, il y a vraiment... Je pense qu'on avait plus confiance dans le produit qu'on était capable de livrer. Pis on était, t'sais, quand peut-être il était temps d'en refaire un autre, ben là on était rendus presque dans Avengers, t'sais, 2012. Pis là on est comme, ouais là ça on pourra pas à côté comme 8 acteurs vraiment connus avec les meilleurs super-héros, excepté Spider-Man. Fait que t'sais, c'est ça.
Ça a commencé à peser l'eau, je crois. Mais c'est ça, on sait jamais. C'est une production un peu houleuse, toujours, que les droits...
[00:37:57] Speaker A: On dirait que c'est comme la fin d'une époque. J'ai regardé le film et je me suis dit, c'est la fin, comme le pré-MCU. C'est comme, j'arrive à la fin. Puis c'est vrai qu'on arrive à la fin.
[00:38:06] Speaker B: On arrive à la fin, mais en même temps, il y a d'autres films externes au MCU qui continuent d'évoluer en parallèle, que ce soit les X-Men, que ce soit les Spider-Men, encore une fois, tout ce qui est propriété de Sony, essentiellement. Tu sais, on continue quand même à se démener, mais le problème c'est que... Ben, le problème. Un heureux problème.
[00:38:24] Speaker A: Il y a eu un changement de paysage, souhaitons-le.
[00:38:26] Speaker B: Oui, oui, vraiment. Puis là, ça commence à s'influencer. Puis le problème, c'est que Marvel, dans ses... tu sais, 8 premières années ou presque, avait aucun sans faute. Même les films bas... Ben, les films corrects, c'était des films de qualité, puis tu sens qu'il y a la machine Disney derrière qui est là pour mettre de l'argent, puis... Faire en sorte que les effets spéciaux peuvent... Au niveau technique, sauf peut-être Quantum Mania qui est arrivé un peu plus tard, mais au niveau technique, les trois premières phases du MCU, c'est solide, c'est uniforme, c'est de la qualité et c'est dur pour des petits studios que je vais appeler indépendants, mais des petits studios de pouvoir rivaliser avec ça. Fait que c'est souvent les propositions alternatives qui ont réussi à se démarquer, comme Deadpool, qui demande pas grand chose, mais un bon writing, si on veut. Mettons même Kick-Ass ou Kingsman, qui sont pas vraiment des super-héros, mais super-héros adjacents, si on veut, puis qui, avec leurs propositions pour un public un peu plus mature, ont réussi à faire sa place malgré tout. Mais pour le film de super-héros classique, traditionnel, y'en avait plus de place, là. C'est soit le studio faut qu'il fronte 250 millions pour faire de quoi de qualité, Ou soit, c'est sûr qu'ils vont aller voir l'autre Marvel. En tout cas, je suis pas mal sûr aussi que Marvel mettait beaucoup de pression sur les autres studios pour acquérir tous les droits qu'ils ne possédaient pas. On le sait avec Sony, ça a été bien compliqué, la saga Spider-Man.
[00:39:48] Speaker A: Mais tous les petits... Ça l'est encore aujourd'hui.
[00:39:51] Speaker B: C'est ça. Ils ont été très actifs encore sur Fantastic Four pour finalement avoir les droits. C'est ça. Je suis pas... J'aurais été curieux de voir un troisième film, honnêtement, de Fantastic Four parce que l'univers est quand même... Le Silver Surfer, c'est une belle addition. J'aime ces personnages-là qui vivent un peu à l'extérieur du temps et qui font juste se promener. Je trouvais l'approche vraiment intéressante, mais c'est ça, ils ne sont pas capables de faire un bon film avec tout le bagage que pourtant les Fantastic Four possèdent. On peut te laisser parler un peu du film en terminant.
[00:40:27] Speaker A: Ouais, ben moi, écoute, j'ai eu une drôle... J'ai un drôle de feeling avec ce film-là, je l'aime pas. Pis j'ai l'impression que j'ai perdu mon temps en le regardant. Mais je vais dire ça bien honnêtement. C'est parce que, rendu au milieu du film, je me suis dit bon, qu'est-ce qui s'est passé? J'ai mis ça sur pause, j'étais allé me faire un petit snack. Qu'est-ce qui s'est passé? Qu'est-ce qu'il faut que je retienne comme que je fais avec tous les films que j'écoute? Pis j'ai ouvert mon carnet de notes pis j'avais rien à écrire dedans. parce qu'il ne s'était rien passé. C'est ça. C'est dur de... Je ne peux pas inventer des choses. Il ne s'est rien passé d'intéressant et d'important aussi. Parce que le film se développe vraiment dans la deuxième partie, qui est après le milieu. Puis, suite au premier contact, mettons, avec Silver Surfer, là, le film se déclenche un petit peu. Mais tout se passe au dernier moment.
Aussi, il n'y a pas eu Galactus comme on aurait peut-être aimé l'avoir. On sent que c'est une menace, mais pas tant que ça non plus. C'est vraiment dur pour moi d'aimer ce film-là et c'est vraiment dur pour moi de dire que... J'aurais aimé ça en avoir un autre. Moi, dans ma tête, j'en avais assez après ce film-là, puis je comprends qu'elle n'en ait pas fait un troisième, malgré les facteurs externes. Je me suis dit « Ah, bon, tu vois, c'était la fin de ces personnages-là, de cette série-là, puis pour moi, c'est correct, je suis prêt à les laisser partir. » Mais aussi, il y avait un grand problème au niveau de l'écriture. Je ne peux pas comprendre Docteur Doom ou les décisions qui ont été prises. On n'a pas la magie du premier où est-ce qu'il y a comme une petite rivalité entre la chose et la torche humaine. Là, il y en a en quelque sorte, mais ce n'est pas la même chose. Je n'aime pas comment ça a été présenté et je n'aime pas le contenu. Je suis content que Silver Surfer soit là, c'est un personnage que j'aime, il a été bien fait, mais il manque de quoi? J'ai l'impression d'avoir écouté une vidéo YouTube qui dure plusieurs heures. Ben qui dure une heure, une heure et demie. Mais j'ai l'impression que ça soit plusieurs heures.
[00:42:42] Speaker B: Ouais.
[00:42:43] Speaker A: Fait que c'est vraiment difficile pour moi de dire comme quelque chose de positif sur ce film-là. Mais as-tu des choses positives que t'as appréciées du film?
[00:42:54] Speaker B: Ben c'est ça, comme je mentionnais, tu sais, Silver Surfer, le personnage, puis ultimement, moi j'ai pas détesté la twist de « on va combiner nos pouvoirs », tu sais, je pense qu'il y avait peut-être une autre façon de faire ça qui aurait impliqué les autres personnages, tu sais, je sais pas, une espèce de cube à la Tesseract ou je sais pas quoi, un objet qui fait que tu peux, tu sais, il faut que tu combines tes pouvoirs pour... Il y aurait peut-être eu moyen, mais je ne sais pas ce qui existe dans le lore non plus.
[00:43:21] Speaker A: Le switch de pouvoir, je l'ai trouvé intéressant. C'est la combinaison que je n'ai pas trouvé intéressante. Mais le switch de pouvoir, il n'y aurait pas une scène de combat où est-ce qu'ils s'échangent leurs pouvoirs pour aller vaincre un vilain.
Ça ne s'est pas passé. À l'évent de Docteur Doom dans ce cas-ci, le switch de pouvoir aurait été vraiment intéressant en scène de combat. On dirait qu'ils ont donné tous les pouvoirs à Johnny Storm. Juste par paresse, selon moi.
[00:43:55] Speaker B: Il y a beaucoup de paresse dans ce film.
[00:43:57] Speaker A: Il aurait vraiment pu avoir des switches de pouvoir. Quand est-ce qu'on a pu voir ça?
[00:44:02] Speaker B: Il y en a un petit peu dans les X-Men. Je ne me souviens plus dans lequel, mais je sais qu'il y a Rogue qui prend les pouvoirs. Mais à un certain moment, il me semble qu'il y a Kitty Green. Mais c'est peut-être dans un autre film qu'on n'a pas parlé encore.
[00:44:18] Speaker A: Oui, qu'on n'a pas parlé, mais il y a aussi, je pense, dans The Marvels, où est-ce que, tu sais, quand ils se téléportent, là, bon, c'était pas mon film favori non plus, mais quand ils se téléportent puis qu'ils changent de place, puis à un moment donné, il me semble qu'ils se servent de ça, en tout cas, on va le regarder, mais qu'ils se servent de ça dans une scène de combat, puis là, ça, je trouvais ça cool. Tu sais, c'est une belle... c'est un bel exemple de... il y a un problème, puis ton problème devient une solution à quelque part. Mais là, j'ai pas senti ça dans ce film-là et j'ai senti qu'il n'y a aucune explication derrière ça.
[00:44:48] Speaker B: Non, effectivement. Donc voilà, c'est pas une grosse surprise parce que le film non plus, à sa sortie, n'a pas été très bien reçu par la critique. Donc voilà, au retour de la pause, on va octroyer nos fameux popcorns de l'infini à ce film-là et clore, ma foi, un chapitre pré-MCU qui a été bien rempli et qui nous a occupés pendant plusieurs mois. Restez des nôtres.
Vous êtes de retour au popcorn de l'infini et c'est le moment que vous attendiez, tous et toutes, l'octroi de nos fameux popcorns. Et je pense qu'il va s'en mériter quand même, malgré le mal qu'on en dit, il va s'en mériter quand même quelques-uns. Donc David, rappelle-nous ses 6 popcorns.
[00:45:30] Speaker A: Bien sûr, on commence avec le popcorn de l'espace qui est l'importance avec le MCU, le popcorn de la réalité ensuite qui est le réalisme du récit, le popcorn du pouvoir qui est la qualité des scènes d'action, les effets spéciaux, le popcorn de l'âme qui est le respect de l'âme du matériel source, le comic accuracy, et le popcorn de l'esprit qui est le fun factor, le scénario, et le popcorn du temps, est-ce que le film est intemporel, est-ce qu'on en garde un souvenir? Donc, commençons par le popcorn de l'espace, est-ce que ce film-là est important avec le MCU?
[00:46:00] Speaker B: Non.
[00:46:01] Speaker A: Non. Absolument pas. Zéro.
[00:46:02] Speaker B: On va vraiment tout changer ses éléments probablement dans le prochain film des Fantastic Four. Puis je pense qu'on va le faire mieux même si j'ai pas trop compris comment est-ce qu'on va intégrer Robert Downey Jr. comme Docteur Doom. Ça va être étrange.
[00:46:16] Speaker A: Ce film-là reste d'être à propos de Galactus. Ça va ressembler plus au film qu'on a vu aujourd'hui.
[00:46:21] Speaker B: Mais tu sais, si je me permets un petit aparté, on a quand même quelques minutes. Je pense que le casting va être plus efficace aussi. Bon là, Pedro Pascal qui joue un monsieur fantastique, je pense qu'il est dans tous les films qui sont sortis dans les deux dernières années. Je pense que c'est quelqu'un qui a du charisme.
[00:46:37] Speaker A: Mais ça va peut-être bien vieillir plus.
[00:46:38] Speaker B: Ouais, c'est ça. Puis je pense qu'il est peut-être plus capable d'assumer la qualité de leader, mettons, qu'Yohann Groffit, qui joue lui.
[00:46:47] Speaker A: C'est drôle, quand je vois Pedro Pascal, je ne vois pas quelqu'un d'ultra-intelligent, mais c'est correct.
[00:46:51] Speaker B: Non, ben c'est ça. Moi non plus, honnêtement, je ne sais pas s'ils vont changer ce trait-là parce que, tu sais, là maintenant qu'ils sont dans un univers où tous les super-héros existent, il y en a d'autres de gens intelligents comme Tony Stark.
[00:47:02] Speaker A: Non, mais c'est supposé être le plus intelligent sur la planète.
[00:47:04] Speaker B: Ouais, c'est ça. Mais là, je ne suis pas… Mais.
[00:47:05] Speaker A: C'Est ça, l'affaire, c'est que, comme je le regarde à côté de Tony Stark, il y a des souliers énormes à remplir dans l'intelligence, puis il va falloir qu'on va voir si c'est un acteur.
[00:47:15] Speaker B: Ouais, ouais, ouais. J'ai hâte voir ça.
[00:47:15] Speaker A: On de va vraiment pouvoir voir si c'est un acteur, on va le mettre au défi. Fait que non, pas de pop-corn de l'espace. Pop-corn de la réalité. Est-ce que le récit est réaliste?
[00:47:23] Speaker B: Dans l'univers... Ouais, c'est ça. Est-ce que c'est réaliste, sachant qu'il y a... Mais attends, c'est quoi les motivations de Galactus?
[00:47:32] Speaker A: Lui, il veut se nourrir... Non, il se nourrit de planètes.
[00:47:36] Speaker B: Tout simplement.
[00:47:36] Speaker A: C'est un dieu qui se nourrit. C'est une force de la nature. C'est pas un dieu, c'est une force de la nature. Il fait partie de l'environnement.
[00:47:42] Speaker B: Ben t'sais, c'est quoi les chances qui arrivent sur Terre avec les super-héros? Je sais pas, avoir là. Je sais pas, je sais pas, je sais pas, je sais pas, je sais pas, je sais pas, je sais pas.
[00:47:49] Speaker A: Pas, je sais pas, pas, je sais.
[00:47:49] Speaker B: Pas, pas, je sais pas, pas, je sais pas, pas, je sais pas, pas, je sais pas, pas, je sais pas, je sais pas, pas, je sais pas, je sais pas, je sais pas, je sais pas, je sais pas, je sais pas, J'ai pas d'opinion.
[00:48:14] Speaker A: Moi j'irais avec 0 parce que c'est pas ultra réel.
[00:48:17] Speaker B: La façon aussi dont Doctor Doom revient c'est un peu sketch. Pourquoi l'armée voudrait continuer à travailler avec lui?
[00:48:28] Speaker A: Moi j'irais avec un 0 pour les réalités. Pour le popcorn du pouvoir, la qualité des scènes d'action et des effets spéciaux, ça va. Non, mais je pense que je donnerais pour le Silver Surfer.
[00:48:39] Speaker B: Ouais, ouais, c'est ça. Tu sais, je pense en 2007, là, ça fait quand même un petit bout. C'est dur de se remettre dans le contexte, mais tu sais, ça me semblait impressionnant pour l'époque. Peut-être que ça l'était pas tant que ça à l'époque, là, mais... Non, mais.
[00:48:50] Speaker A: Ça l'est plus impressionnant qu'aujourd'hui, mettons.
[00:48:53] Speaker B: Ouais, ouais.
[00:48:53] Speaker A: Ok, on lui donnerait le popcorn du pouvoir et ensuite le popcorn de l'ombre, le respect de l'ombre du matériel source. Bon, on se base quand même assez bien sur des comiques mais qu'est-ce qui est impardonnable c'est Galactus et Doctor Doom qui sont comme... on n'est pas capable de faire des vilains dans ce... on n'est pas capable de faire des vilains correctement. Silver Chauffeur, il est un peu mieux, mais honnêtement, c'est juste impardonnable. Galaxy, là, je peux pas lui donner une pop-corn de l'âme, là. Ça respecte pas du tout, là. Mais ta ressource, ça respecte certainement l'histoire.
[00:49:23] Speaker B: Ouais.
[00:49:23] Speaker A: T'sais, l'histoire, je trouve qu'elle suit quand même bien les comiques, mais... Tant qu'à respecter l'histoire. Ouais, c'est ça. À la fois, ils voulaient juste pas payer un acteur de plus, là.
[00:49:33] Speaker B: Ouais, ouais, c'est ça. Ou modéliser un géant. Pas possible.
[00:49:37] Speaker A: Ouais, ben c'est sûr que c'est pas facile à faire non plus, là, un géant, mais quand même... Même pas un demi-popcorn?
[00:49:43] Speaker B: Je sais pas, je demande.
[00:49:44] Speaker A: Non, j'y donnerais aucun parce que je trouve que malgré qu'on suit une certaine histoire, il y a trop de personnages qui ne se ressemblent pas. Susan Storm, c'est ça. Susan Storm, puis il n'y a aucun vilain qui fait du sens. Ouais, parfait. Non, je pense qu'on ne respecte pas les comiques dans ce film-là.
Popcorn de l'esprit. Est-ce qu'on a une fun factor? Est-ce que c'est un bon scénario?
[00:50:07] Speaker B: Non.
[00:50:07] Speaker A: Moi j'y donnerais pas. Puis Popcorn du temps. Est-ce que le film est intemporel ou est-ce qu'on en garde un souvenir? Moi écoute, je te dis non. Surtout quand cet épisode-là va sortir. Il va déjà avoir été remplacé, cette storyline-là. On va voir si ça a été remplacé par mieux ou par pire. Mais certainement...
[00:50:23] Speaker B: Je pense pas par pire. Par différent. Différent au moins.
[00:50:28] Speaker A: Ça serait...
[00:50:28] Speaker B: Ce serait dur à battre.
[00:50:29] Speaker A: Ce serait dur à battre. Mais on sait jamais. On sait jamais. Ça fait le tour de notre report. Encore, on doit en redonner une demi.
[00:50:35] Speaker B: Ouais, finalement. Je m'attendais à plus parce que, tu sais, effectivement, au niveau des storylines des comics, ça les suit, mais après ça, tout le monde qui sont dans la storyline.
[00:50:43] Speaker A: Fun fact, maintenant qu'on a fait tout le prix MCU, il n'y a pas un film qui s'est mérité 6 pop-corns. On a été proches par contre, mais par contre, il y a un film qui ne s'est mérité aucun pop-corn et c'est Elektra.
[00:50:52] Speaker B: Électra. Ouais, ouais. On devrait faire un beau visuel avec des popcorns noirs.
[00:50:56] Speaker A: Ouais, c'est ça. J'adore aussi les popcorns. Écoute, j'ai aussi préparé un visuel pour quand on va avoir six popcorns, mais je ne m'en suis jamais servi malheureusement.
[00:51:04] Speaker B: Est-ce qu'il y a un film qui va s'émiriter? Je pense que oui.
[00:51:06] Speaker A: Oui, oui, quand on va rentrer dans la MCU.
[00:51:08] Speaker B: Ouais, ouais, ouais, c'est ça. Mais voilà, écoutez, c'est la fin d'une belle épopée pré-MCU. Notre prochain épisode, avant d'entrer bel et bien avec Iron Man, donc premier film de la phase 1 du Marvel Cinematic Universe, Ben, on va prendre le temps de s'asseoir puis de présenter un peu ce qui a mené à tout ça. Évidemment, bon, le travail de Kevin Feige, de Stanley, de toute sa gang là, mais t'sais, quelle était la vision de départ de tout ça? Puis, ben c'est ça. On va en profiter également pour faire un top de nos films pré-MCU également. On en parlait des 14 films dans les derniers épisodes. On va les classer puis revenir un peu sur nos appréciations avant de bel et bien plonger. Puis là, on va avoir beaucoup de choses parce qu'heureusement, on a un petit délai avant que les séries télé commencent, mais on a quand même une phase 1 assez marquante, assez majeure pour tout ce qui va suivre par la suite. Donc, ça va être très intéressant. Puis en parallèle, il va y avoir d'autres films aussi qui qui sont maintenant canon du MCU, mais qui ne faisaient pas partie de la phase 1. Donc, c'est ça. Suivez-nous, suivez-nous. Il va toujours en ordre chronologique. Donc, c'est ça. Ça aide à faire un peu de sens dans tout ça. David?
[00:52:19] Speaker A: – Chronologique de sortie, pas d'histoire, par contre.
[00:52:21] Speaker B: – Oui, oui, de sortie. Oui, non, c'est ça. Sinon, on commencerait par Agent Carter. Mais, ben non, même avant ça. Bref. Donc, voilà. Merci beaucoup, David. On se retrouve donc pour cet épisode spécial sur le MCU. Ben, merci, David.
[00:52:34] Speaker A: – Hé, salut.